Trio + 1
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
fbi,
jeunes,
copains,
intermast,
Oral
69,
hfff,
Auteur: Sexapile33, Source: Revebebe
... comment il rayonnait. Aussitôt, sa chaleur m’enveloppa et petit à petit, mon cœur arrêta sa chamade et mes peurs partirent. Pascal me demanda si j’allais mieux.
— Oui, je te remercie. Tu dois me prendre pour une cruche.
Pascal rigola. Mon oreille contre lui entendit les battements réguliers de son cœur et ses paroles résonnèrent. Il me dit :
— Une cruche comme toi, avec une plastique aussi généreuse, on n’en voit pas tous les jours ! On n’a jamais parlé de tes rapports avec les mecs d’un point de vue sexe. Tu veux qu’on en parle un peu ? Si ça peut t’aider à passer le cap de tes peurs !
D’un seul coup, sans forcément contrôler le flot de paroles, je lui racontai mon enfance et ma seule et triste expérience avec un garçon. Sans m’en rendre compte, j’étais redevenue maîtresse de ma personne et au fur et à mesure, Pascal me caressait l’épaule pendant que ma propre main se promenait sur son torse. Je me sentais bien et quand j’eus fini mon histoire, Pascal me raconta sa propre expérience avec sa fameuse Laurence avec qui il avait eu une suite de hauts et de bas. La découverte de l’Amour avec tous les échanges possibles dans le don de plaisir à l’autre. Comment il adorait les femmes et leur plastique, les courbes, l’érotisme et les odeurs. Il me dit que depuis que j’étais contre lui, il sentait la pression de ma poitrine contre lui et qu’il avait une envie folle de la caresser, l’embrasser, la regarder et que l’Amour, c’était ça avec son lot de frustrations. Je lui ...
... posai une question un peu stupide :
— Tu me trouves belle ?
Et il me répondit directement :
– Belle ? Non, simplement splendide.
Ce que je peux être cruche des fois ! en me sentant comme une toute petite enfant. Pascal bougea son bras et ma tête se reposa sur l’oreiller. Il me regarda, s’avança pour m’embrasser sur la bouche et notre baiser fut d’une douceur extrême. Je fondis littéralement et mon ventre était tout tourneboulé de la chaleur du désir qui naissait en moi. J’avais envie qu’il me touche, qu’il me prenne avec la même douceur que son baiser. Délaissant ma bouche, il m’embrassa sur la joue et, par petites touches, il descendit dans mon cou, puis mon épaule juste recouverte par la fine lanière de mon caraco. Je le laissai se promener sur mon corps avec ses baisers qui étaient maintenant sur mon bras. Tout mon corps le réclamait, hurlait qu’il s’aventurât sur des zones plus intimes. Ma respiration était devenue saccadée et je brûlais intérieurement d’un désir de plus en plus fort. Mes seins étaient contractés et mes tétons me faisaient même mal. Je posai mes mains sur sa chevelure et le dirigea sur mon ventre qu’il se mit à embrasser. Sans aucune peur, je tirai sur le tissu pour découvrir mon ventre pour que les baisers de Pascal soient directement sur ma peau. Coincé par le tissu du caraco bloqué par mes gros seins, Pascal repartit vers mon ventre. Mon sexe était bouillant et les baisers s’approchant de ma toison me fit écarter les cuisses sans vraiment ...