1. Trio + 1


    Datte: 26/10/2018, Catégories: fh, fffh, fbi, jeunes, copains, intermast, Oral 69, hfff, Auteur: Sexapile33, Source: Revebebe

    ... chouette. Cinquième étage avec terrasse, une vraie cuisine et trois chambres. Laurence participa aussi activement au changement et quand je me remis à sortir, ils m’invitèrent dans ma nouvelle demeure. J’avais l’impression de vivre une émission de Déco car j’avais ma chambre personnalisée, Laurence la sienne et Carole aussi. Ils avaient bossé comme des tarés pour regrouper ce que maintenant on pouvait appeler les mousquetaires. D’ailleurs, Laurence avait chiné une vieille reliure d’époque avec les trois mousquetaires qu’elle avait mise au mur dans un cadre. En la voyant, cela me fit rire malgré le chagrin. Tout ce travail fut fait en regroupant le pognon de chacun. C’était une colocation qui nous permettait de vivre dans cet appart pour une bouchée de pain. Royal !
    
    Pascal avait trouvé le temps de venir me voir chez Laurence pour me forcer à sortir. Il fut persévérant et avec l’aide des filles, je sortais avec lui pour parler ou simplement pour se geler dans les courants d’air. Mon idée sur lui évolua dans le bon sens et quand la situation de vivre ensemble dans le même appart se présenta, je ne fus nullement choquée. Au contraire, j’en fus contente et cela me rassura de l’avoir près de moi.
    
    Le couple Carole-Pascal vivait bien. Le trio de nanas vivait bien. Les parties de jambes en l’air entre nanas reprirent doucement. La vie à quatre se mit en place avec quelques réglages obligatoires. Laurence changea de boulot pour ne plus avoir de transport. Carole en fit autant. ...
    ... Pascal garda son travail à Bagneux. Moi, je trouvai un travail à côté de celui de Pascal. Le soleil revint avec les rires et, comme disait ma mère, la vie continue et elle est unique donc, vivons-là.
    
    Un week-end gîte fut préparé par Laurence pour Juillet. La famille de Laurence a une vieille ferme et nous avions les clefs pour le W. E. Voire un peu plus. En prenant un jour de congé, nous avions quatre jours avec le 14 juillet. À table, je dis aux filles que c’était en pleine période d’éclipse. L’éclipse était le terme très technique pour dire que Pascal devait s’éclipser pour nous laisser toutes les trois à nous brouter le minou. Effectivement, une fois par mois, nous avons environ deux semaines sans règle et c’est dans ces périodes où nous faisons l’amour à fond. Le reste du temps, c’est juste des baisers et des caresses gentilles. Carole fit la moue sans rien dire de particulier. Laurence souffla et dit :
    
    — On peut s’en passer pour une fois, on ne va mettre Pascal dehors !
    
    Et moi, après un petit moment de réflexion :
    
    — Eh bien, c’est peut-être le moment d’intégrer d’Artagnan !
    
    Les filles me regardèrent avec étonnement pendant que Pascal continuait à manger, l’air de rien. Je lui dis :
    
    — Fais pas le sourd, on parle de toi !
    
    En se relevant, il sourit et dit d’un air très bête :
    
    — Pardon… je n’ai pas entendu.
    
    Mon œil, espèce de vicieux ! Carole me demanda « J’ai bien entendu ? » Je me demandai si je n’avais pas été un peu vite dans ma phrase mais ...
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