CFNM à l'université Chapitre 11
Datte: 26/10/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... demandes, elles diront toutes oui.
Nous n'avons pas entendu.
— Ah, s'il pouvait dire oui, a soupiré Virginie.
— C'est ce qu'il désire, j'ai répondu, mais il n'ose pas.
— Ce n'est pas plus mal, nous pouvons jouer... a conclu Marie-Dominique qui adorait ce jeu.
Frédéric a eu fini de laver la vaisselle et Anne-Sophie lui a dit qu'elle allait dans sa chambre. Il a voulu suivre, mais Virginie est entrée.
— Arno, tu es là, tu n'as pas dîné avec nous? Nous avons adoré, c'était simple, diététique et si bon. Je t'adore. Oh, tu n'as pas encore rangé le salon?
— J'allais le faire, il a dit.
— Et bien fais-le il ne faut pas faire les choses à moitié.
— Oui Virginie, il a répondu assez docilement.
Elle l'a embrassé, il a rangé ce qui restait et Virginie est partie dans sa chambre, mais pas de répit, Marie-Dominique est entrée.
— Ah, mon chéri, je vois que tu as fini de nous aider ici, viens vite, tu as promis de me brosser les cheveux.
Il était encore perdu. Marie-Dominique l'a pris dans ses bras, et lui a mis sa grosse poitrine sous son nez.
— Viens. J'ai envie de t'avoir un peu pour moi toute seule.
Nous sommes vite allées chez Annick et nous les avons vus passer. Elle s'est arrêtée pour qu'il lui entre dedans avec son sexe.
— Oh... que fais-tu?
— Excuse-moi, il a dit tout confus.
— Ce n'est rien.
Elle s'est retournée et a touché légèrement son sexe.
— J'espère que tu n'as pas eu mal. Bon, autant me mettre à l'aise, retire mes ...
... chaussures.
Récit d'Arno
— Retire mes chaussures.
Je n'en peux plus, tout est trop excitant. Je m'abaisse et retire les lanières de ses jolis escarpins, elle a de très beaux pieds.
— Merci.
Quand je me relève, je constate qu'elle a retiré son chemisier, son opulente poitrine est comprimée dans un joli soutien blanc. Elle retire ensuite son pantalon et elle m'apparait en sous-vêtements. — Voilà, je suis plus à l'aise comme ça, cela ne te dérange pas?
— Non, non, réponds-je en m'étranglant.
— Suis-je bête, tu acceptes tout de moi, n'est-ce pas?
— Oui...
— Je sais, tu es un garçon formidable.
Elle se colle à moi et m'embrasse. Je sens mes bras la serrer plus fort contre moi, je vais craquer.
— Doucement, me dit-elle, tu me fais mal.
— Excuse-moi, bredouillé-je en desserrant à peine mon étreinte.
— Ce n'est rien.
Elle ne bouge pas. Je descends mes bras avant d'atteindre un point de non-retour. Elle sourit, m'embrasse sur les lèvres.
— J'adore quand tu es là, tu es vraiment un mec bien.
Elle s'assied sur son lit et me tire à elle, je me retrouve à nouveau contre elle mais cette fois, elle a mis sa joue sur mon sexe. Je n'en peux plus.
— Prends la brosse, me demande-t-elle d'une voix égale.
Je ne parviens pas à bouger. Elle me pousse un peu et je trouve ce qu'elle demande sur le bureau. Je suis tellement fébrile que la brosse m'échappe des mains.
— Et bien, rit-elle, tu es si maladroit. Avant de me brosser les cheveux, va me ...