Nouvelle prof
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
danser,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fsodo,
f+prof,
Auteur: Sarah, Source: Revebebe
... C’est sa seule condition pour accepter de prendre des cours particuliers.
— Bon, on va s’arranger. Je lui en parlerai.
Le lendemain, il pleuvait à verse lorsque je quittai le lycée à cinq heures. Quelques centaines de mètres plus loin, je doublais un jeune homme qui marchait sur le trottoir. Il était trempé. Je m’arrêtais et lui proposai de le déposer quelque part. Il accepta et monta dans la voiture. Je le reconnus alors, c’était Julien.
— Mais qu’est-ce que vous faites dehors par ce temps ?
— Je rentre tout le temps chez moi à pied, il n’y a que deux kilomètres.
— Personne ne peut venir vous chercher, dans ces cas-là ?
— Non, vous savez ma mère finit tard. Et puis, c’est que de l’eau.
— À propos, elle m’a appelée. Elle m’a dit que vous ne vouliez que moi pour recevoir des cours particuliers.
— Oui, mademoiselle.
— J’accepte. Mais ça va être dur, vous savez ? Il va falloir se battre et je ne garantis pas qu’on y arrivera. Mais on va tout faire pour.
— D’accord. Merci… C’est là, dit-il en montrant une petite maison. Merci beaucoup. À demain.
Notre premier cours eut lieu le samedi suivant. Il pleuvait encore et cela depuis cinq jours. Sa mère m’offrit un café que je bus rapidement avant de rejoindre Julien dans le salon. Nous travaillâmes pendant trois heures. Je lui fis réviser les bases qu’il avait oubliées depuis longtemps. L’ampleur du travail m’effraya, mais le jeune homme était motivé. Je décidai de lui donner des cours tous les soirs et tous les samedi ...
... après-midi.
Le mois d’avril fut horrible, il plut tout le temps. Nous travaillions dans le salon, la lumière allumée dès cinq heures du soir. Puis arriva mai, à un mois de l’examen final. Le soleil repoussa tous les nuages et s’imposa largement. Nous profitions de la chaleur en travaillant sur la terrasse. Mais bientôt il fit trop chaud et nous nous expatriâmes dans sa chambre au sous-sol. Il progressait nettement, il comprenait de plus en plus vite et cela valait mieux car le bac approchait.
Un samedi, quinze jours avant les épreuves, alors que je me rendais à pied chez mon élève, je croisai Philippe au bras d’une fille que je ne connaissais pas. Je ne les saluai pas et accélérai le pas. J’arrivais chez Julien énervée. Je le rabrouais à chaque fois qu’il se trompait, je criais qu’il était nul, qu’il n’arriverait à rien comme ça. Devant sa mine surprise et déconfite, je m’excusai et me mis à pleurer. Il me tendit un mouchoir et me dit qu’il me pardonnait, pendant que je lui racontais mon histoire, la tête sur son épaule, les larmes sur mes joues trempant son tee-shirt.
Mes yeux embués se posèrent par hasard sur son entrejambe que je crus voir grossir. Je séchai mes larmes et vérifiai discrètement. Mais oui, il bandait bel et bien ! L’émotion me fit sans doute perdre la tête car je posai aussitôt ma main sur sa cuisse :
— Je te fais de l’effet, mon garçon ?
— Oui, mademoiselle.
Sans un autre mot, j’ouvris sa braguette et sortis sa queue d’une belle taille. Je ...