1. La coquine et l'énigme du chapelet disparu...


    Datte: 25/10/2018, Catégories: fh, fsoumise, Oral fgode, fdanus, couple, Auteur: Minouchette, Source: Revebebe

    ... suffit pas. Et puis mes bras commencent à fatiguer. Alors je serre mes doigts comme un garrot autour de cette bite palpitante et porte mes lèvres sur le gland violacé par la pression sanguine. Non, ce chibre ne va pas me défier longtemps ! Je le gobe tout d’une traite ! Monsieur râle de surprise, de plaisir et de douleur mélangés. Il me gifle pour punir mon audace… « Tes dents, petite pute ! »… dans mon emportement, mes molaires ont rayé les délicates muqueuses. Je m’en réjouis intérieurement ! J’aime être soumise, mais je ne peux réprimer ces petites pulsions de rébellion. Malgré tout, bonne fille, je m’attelle consciencieusement à ma tâche.
    
    Revigorée par les petites claques qui flattent ma croupe, je suce mon homme avec entrain, comme il aime, en alternant gorges profondes et pompages. Il est prêt à tout lâcher. Mais je maîtrise sa jouissance de quelques coups de langue sur son méat. Fou d’envie, il saisit ma tête à deux mains et me baise la bouche. Il me force le palais, cogne contre mes amygdales, s’engouffre dans mon œsophage… je produis un bruit de tuyauterie, j’étouffe presque, mais je reste totalement passive. Je prends tout, je suis une poupée gonflable, je me laisse violer jusqu’à vomir ! Il se retire juste à temps. Je réprime un renvoi, je pleure, salive, suffoque… mais j’ai salement aimé d’être ainsi malmenée ! Je lis dans le regard de mon homme une furtive lueur de reconnaissance et de fierté. Mais je ne veux pas d’attendrissement maintenant. Je ne suis ...
    ... pas encore rassasiée !
    
    Il le comprend et m’empoigne pour me tourner. Agenouillée et aplatie au maximum, comme une tigresse en rut, je présente mon cul et me cambre, offerte et soumise à toutes ses pulsions lubriques. J’ignore tout de ses intentions… souffrance ou volupté ? Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver dans la seconde. Je ne sais pas non plus ce que je voudrais, tant l’excitation peut transformer la douleur en plaisir et inversement. Quand il opte pour des caresses et des léchouilles sur ma petite rondelle afin de l’apprivoiser, je suis presque déçue de ne plus être violentée !
    
    Sa langue traite mon petit trou comme si c’était ma bouche et j’ai droit à une véritable galoche de voyou ! Tournoyant, pointant, elle s’immisce dans mon anus qui lui répond mécaniquement, tout d’abord en se contractant face à l’intrusion, réflexe animal, puis en cédant le passage à ce visiteur désiré, réaction apprise au travers d’un long et difficile dressage. Sentant mes sphincters se relâcher pendant la fouille, j’exulte de cette joie perverse, de ce dévoiement : je suis bel et bien une fieffée salope !
    
    Mon petit derche étant domestiqué, je suis prête. Je n’ai pas longtemps à attendre. Une pression sur ma corolle m’indique qu’un plug ou un autre toy anal est sur le point d’être introduit dans mon boyau, ce que j’affectionne particulièrement. Comme je suis très réceptive, il ne lui faut pas longtemps pour faire céder ma petite fleur. À l’enchaînement des insertions, je reconnais le ...