1. Astrid et Julia (10)


    Datte: 25/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: imaxparis, Source: Xstory

    Il est neuf heures lorsque je me réveille le lendemain matin. Astrid dort encore allongée sur le ventre, les fesses écartées. Je peux voir son anus distendu par la pénétration anormale que je lui ai fait subir hier soir. Je ne peux résister à la vue de cette ouverture béante, j’y plonge deux doigts pour tester son élasticité. Ses sphincters, dans un mouvement réflexe, se resserrent sur eux. Je n’insiste pas, car c’est sa chatte que je veux et je dois préserver son cul pour ce soir.
    
    La seule réaction qu’elle ait, suite à mes attouchements, est de se tourner sur son côté droit. Elle dort encore profondément. Je me mets en cuillère, ma bite glisse dans sa raie et tente une introduction dans son sexe. Ses cuisses sont trop serrées. Je soulève sa jambe gauche et, m’aidant de la mienne, je la maintiens surélevée. Je n’ai alors aucun mal à engouffrer mon vît dans sa chatte trempée. Elle devait faire un rêve érotique, car ça rentre tout seul jusqu’au fond. Elle est chaude à souhait. Mon action, ferme, la tire de son sommeil. Elle se presse contre moi pour accentuer ma pénétration. Je passe ma main droite sous son corps. Je peux alors empaumer ses deux seins et pratiquer de douces malaxations de ses tétons. Sa respiration s’accélère. Mon gland palpite dans son antre. Ses muscles vaginaux travaillent mon pénis. C’est fabuleux. Je la sens qui s’éveille complètement et répond entièrement à mes sollicitations.
    
    Nos sens s’enflamment mutuellement et dans un dernier coup de reins, ...
    ... nous jouissons ensemble en pleine harmonie sexuelle.
    
    Astrid est infatigable. C’est devenu une affamée de sexe. Jamais, jusqu’à présent, je n’avais connu une femme aussi demandeuse. Mon ex-femme, pourtant avide de baises intenses, ne lui arriverait pas à la cheville. Pourrais-je faire de Julia une copie de sa mère ? Je crois que, vu son âge, elle la battra... Mais pour l’instant, je n’en suis pas encore là, ce n’est qu’une supposition.
    
    Le reste de la journée, je passe mon temps à l’exciter sans la mener jusqu’à l’orgasme. On peut voir, aux regards qu’elle me lance, qu’elle n’en peut plus. Elle me supplie plusieurs fois de la prendre, mais je me dérobe à chacune de ses tentatives. Je la veux dans un état extrême de manque pour qu’elle puisse satisfaire tous les hommes que je vais mettre à sa disposition ce soir.
    
    Je l’ai juste prévenue que ce soir, elle serait la reine de la soirée. Elle n’a de cesse de me poser des questions auxquelles je réponds vaguement. Je lui demande seulement de se faire belle et de ne porter que le strict minimum. Autrement dit : entièrement nue sous sa robe la plus décolletée possible.
    
    Elle rentre chez elle pour se préparer et revient vers vingt heures, heure à laquelle j’ai prévu que nous partions. Dès l’ouverture de la porte, elle apparaît, magnifique. Ses cheveux remontés en chignon dégagent ses épaules quasiment dénudées et son cou longiligne. Sa robe, limitée au strict minimum de tissu, moule son corps splendide, dévoile pratiquement toute ...
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