1. Chiara fait la vaisselle


    Datte: 25/10/2018, Catégories: 2couples, couplus, cocus, voisins, pénétratio, échange, Partouze / Groupe totalsexe, entrecoup, Auteur: Alqui, Source: Revebebe

    ... ancrée, imaginant des yeux qui cherchaient les siens pour éprouver son désir… Dans un souffle rauque, elle l’embrassa et cria son plaisir pendant que le mâle crachait le sien dans le ventre d’une femelle assouvie.
    
    Hugo, repu, s’endormit et Chiara, après un bref repos, se rhabilla et se retira pour rejoindre l’appartement conjugal
    
    À son retour, Pat, excité par la victoire de son équipe préférée, manifesta son désir de jouir du privilège du guerrier vainqueur. Quand, après quelques baisers et de rapides caresses, il enfonça son sexe dans le vagin de Chiara, il fut surpris de la douceur et de la lubrification de celui-ci. Interrompant ses mouvements de nutation en elle, il la regarda d’un œil curieux. En souriant, elle lui raconta son apéritif sexuel, ce qui le fit sourire à son tour et augmenta son plaisir lorsqu’il jouit en elle.
    
    Hugo, gêné, ne dit rien à Élise.
    
    Une quinzaine de jours plus tard, en allant chercher le courrier, Pat rencontra Élise et invita le couple à déjeuner le dimanche suivant. En l’annonçant à Chiara, il ne put s’empêcher de sourire.Toi, tu as une idée derrière la braguette… pensa-t-elle.
    
    Le dimanche vint et le repas se déroula de belle manière, les deux amants feignant n’être que de simples voisins (quoique Hugo, en regardant Chiara, devait camoufler sa lubricité), et les deux époux trompés papotaient sans gêne.
    
    Après le dessert et le café, Chiara proposa (perfidement ?) de faire la vaisselle et proposa à Hugo de l’accompagner dans la ...
    ... cuisine.
    
    Pat était assis à gauche d’Élise et ils bavardaient, de tout et de rien. Puis Pat en vint à parler du plaisir que Chiara et lui éprouvaient à faire l’amour, et pas forcément l’un avec l’autre. Élise rosit, admit son goût du sexe, reconnut quelques aventures pré-Hugo, mais depuis, vraiment, elle jurait qu’elle n’avait jamais trompé son mari.
    
    Pat écoutait Élise, observait son émotion. Il se pencha vers elle et, lui posant sa main droite sur le genou, lui murmura à l’oreille :
    
    — Regarde-les, ces deux-là ; n’as-tu pas l’impression que nous sommes cocus ?
    
    Élise ne sut que répondre et observa le couple debout qui échangeait un sourire en même temps que chaque assiette.
    
    — Oui, c’est possible, dit-elle, choquée par la crudité du mot « cocu », mais troublée par la main chaude qui, lentement, remontait maintenant sur sa cuisse.
    
    Elle imaginait son chéri et cette femme, nus dans un lit, se faisant des choses, des choses… et se laissait envahir par la main de Pat…
    
    Pat poursuivait son avantage, et sa main atteignit délicatement le slip d’Élise, puis se glissa négligemment sous la toile légère, franchissant le buisson pubien pour arriver au clitoris, puis au con mouillé. Sortie de sa rêverie, elle réagit, voulut retenir cette main envahissante, mais fort émouvante. Pat, de son doigt, lui caressa le bouton d’amour, arrachant, en retour (en remerciement ?), un profond soupir à d’Élise, crispée par la caresse impudique.
    
    Pat et Élise semblaient bavarder, pendant ...
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