Dérapages. 04
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... place?
- Non, mon dieu, non.
- Bien, alors ne me parle plus de ça. Je sais ce que je fais.
Une fois en bas, j'ai détaché les orteils de Clara. Si j'ai ordonné à Manon de les lui remettre dans les anneaux après qu'elle soit propre, c'est juste pour montre à ma compagne que sa propre fille est totalement sous mon joug. Je me suis déshabillé devant Clara. Sachant ce qui allait se passer, elle m'a regardée horrifiée, couinant derrière son bâillon. J'ai soulevé haut sa jambe, et je lui ai défoncé la chatte. Je l'ai pris comme une bête, la défonçant de mon mandrin. J'étais en train de jouir dans le vagin de ma compagne quand Manon est redescendu. Je l'ai obligé à nettoyer le sperme qui sort de la vulve maternelle avec sa langue. Ce que fit immédiatement Manon. La jeune fille le fait debout, courbée en deux, ce qui me donne des envies. Je me colle à elle, et je sodomise Manon, qui hurle, une nouvelle fois, sa douleur dans la vulve de sa mère, sans cesser de la lécher.
Une nouvelle fois, la fille se relève douée pour le broutage de chatte, rapidement Clara se met à jouir. Envoyant un joli jet de cyprine sur la langue de sa fille. Clara doit être une homo refoulée, ce n'est pas possible autrement. Cela expliquerait pourquoi elle déteste autant le sexe. Cette relation incestueuse orgasmique me fait gicler immédiatement dans l'anus que je visite. Sentant mon sperme envahir ses entrailles, Manon me demande en pleures :
- Je... Je continue avec ma mère, ou je te ...
... nettoies?
- Nettoies ma bite.
Alors Manon cesse ses coups de langues, pour s'agenouiller devant moi et avaler mon chibre dur. Tout cela m'a donné une jolie idée pour un peu plus tard. Quand j'ai jouis dans la bouche de ma pauvre belle-fille, je reprends ma ceinture, juste après avoir rattaché les orteils de ma compagne. Dans l'immédiat, c'est le dos de Clara qui va morfler. Comme la veille, je frappe comme un soudard. Clara hurle derrière son bâillon. Quand son dos est bien rouge, je lui libère la bouche. Elle me parle en pleurant comme une folle, dans un souffle.
- Arrête, pitié...
- Tu seras ma pute? Tu feras ce que je veux? Tu baiseras avec qui je veux?
- Non, pas... pas ça... Jamais...
- Alors, je vais continuer.
- Attends, j'ai soif, je n'en peux plus...
- Pas pour l'instant. J'ai mieux à faire avec ton dos.
- Attends... Attends Léo.
Je ne lui réponds pas. Je me contente d'envoyer un coup de ceinture dans le bas de son dos. Clara peut hurler librement maintenant. Manon, horrifiée, en pleures, se bouche les oreilles avec les mains, pour ne pas entendre les hurlements inhumain de sa mère. Bien entendu, cela ne sert à rien.
Comme la veille, j'alterne de temps en temps, en lui frappant les seins et le ventre. Je ne m'arrête seulement quand son dos, comme son cul la veille, est violé et boursouflé. Je vais chercher une bassine vide.
- Manon, pisse dedans.
Ma belle-fille terrifiée à l'idée que je lui fasse pareil qu'à sa mère, s'exécute ...