La pute de Monsieur C épisode 2: Une visite amicale.
Datte: 25/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: LilaLewis, Source: Hds
J’appris bientôt que je n’étais ni la première ni même la seule à partager les faveurs de Monsieur C. Loin de me gêner, cela me rassura. Au moins, il ne n’exigerait rien de moi qui put me faire douter de mon union. Au contraire. En devenant sa chose, je complétais la seule chose qui me manquait lorsque je franchissais la porte de mon domicile. J’étais comblée sensuellement, sexuellement avec Monsieur C et mon mari continuait de me traiter avec amour, respect et tendresse. Il me suffisait de cloisonner étroitement ces deux univers et je pourrais tout garder… Le temps que cela durerait…
Monsieur entreprit mon dressage patiemment. Je ne m’étais jamais intéressé à cet univers. Une éducation catholique rigide chez les sœurs m’avait tenue à l’écart d’un univers dont je n’avais pas même soupçonné l’existence. Le SM commençait et se terminait à la première page et à la page finale des aventures de Grey et de sa compagne et tout cela restait excessivement soft. Pourtant, je trouvais très vite ma place de petite chienne docile, à genoux près du bureau d’un maître exigeant et sévère qui veillait à mon comportement une petite règle en bois jamais très loin de ma croupe.
Je passais de moins en moins de temps dans mon bureau. De plus en plus dans le sien. Il ne me touchait presque jamais. Il se contentait de me donner des ordres secs et précis sur un ton qui n’aurait pas supporté la contradiction.
J’appris tout d’abord la position d’attente adéquate : à genoux, légèrement ...
... écartés afin que l’on puisse deviner l’entrejambe, mes mains bien à plat sur mes cuisses, jupe relevée à moins qu’il ne m’ait demandé de la retirer pour accéder plus facilement à mon sexe sur lequel, parfois, il assenait un coup sec de la fameuse réglette si je faisais mine de me mettre à mon aise, dos droit pour mettre mes seins en valeur. Si j’étais sage, il m’autorisait à me dégourdir les jambes pour soulager les crampes qui finissaient toujours par me prendre. Pour peu que je prouve ma docilité toute une journée, j’avais le droit, le lendemain, de poser mes genoux endoloris sur un coussin. Il me renvoyait pour recevoir des visiteurs venus de l’extérieur mais dans l’entreprise, tous ceux qui franchissaient la porte de son bureau pouvait constater mon état.
Un jour, on lui annonça la visite de Madame la Comtesse de A. « Une vieille amie », me dit-il d’un air entendu. « Je lui ai parlé de toi. » Comme je faisais mine de me lever pour retourner à mon bureau comme chaque fois qu’un visiteur entrait, je reçus un coup vif et puissant sur la fesse gauche. « Tu ne te lèves que si je te le dis ! Mon amie veut voir ma petite chienne et elle la verra !»
Discrètement, je serrai les genoux mais mon geste n’était pas passé inaperçu. Je reçus un second coup puis un troisième sur le sexe quand je me décidais enfin à ouvrir suffisamment les cuisses. Malgré moi, je me mis à mouiller autant parce que le coup reçu m’avait échauffé la chatte qu’à l’idée d’être ainsi exhibée.
Madame de A ...