1. Le fantasme d'Élisabeth


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fhh, hagé, fagée, extracon, cocus, inconnu, plage, Masturbation 69, pénétratio, confession, couple+h, Auteur: Arthus, Source: Revebebe

    ... dévêtir. Interloqué j’ai suivi le mouvement.
    
    Plus personne ne parlait, le temps était suspendu, Élisabeth prenait son temps pour se dévêtir, me donnant l’impression qu’elle ménageait ses effets. Elle a d’abord retiré son polo, comme nous n’avions pas l’intention de nous baigner, nous n’étions pas en maillot de bain, mais en sous-vêtements classiques. Mon épouse a dégrafé son joli petit soutien-gorge à dentelles, ses petits seins en poire sont apparus. J’ai vu de suite que ses tétons pointaient, signe caractéristique chez ma femme que la situation l’excitait. Charles avait changé de position, il s’était allongé de profil et était très attentif à notre effeuillage. Le moment était très troublant, ma douce a retiré son short, elle portait en dessous une petite culotte blanche ordinaire, pas très sexy, mais pratique ; malgré tout, c’était le dernier rempart. Elle l’a retirée avec une sorte d’élégance.
    
    J’ai vu que Charles était sous le charme et en même temps, il ne pouvait pas cacher son émotion, son sexe se tendait, j’avoue qu’à ce moment-là j’ai observé ses attributs discrètement (j’ai des attirances bisexuelles inavouées). Sa verge était longue et fine, son pubis coupé court. Par contre, ses bourses étaient petites, mais complètement lisses. Cette vision m’électrisa, moi non plus je ne pouvais pas cacher mon excitation, mon short léger était déformé par mon érection, j’étais à l’étroit. J’ai tout baissé d’un coup, c’était très agréable d’avoir le sexe à ...
    ... l’air.
    
    Personne à ce moment-là n’osait prendre la parole, le temps était figé. Puis, à ma grande surprise, j’ai eu l’audace de rompre le silence et j’ai osé raconter le fantasme d’Élisabeth, comme ça naturellement. Je m’attendais à ce que ma femme proteste, elle était debout à côté de moi, elle ne disait rien, sans doute gênée, peut-être en colère après moi, mais aucun son n’est sorti de sa bouche. J’ai dit à Charles que le hasard nous avait mis tous les trois sur le même chemin, que ce n’était pas anodin. J’avais la gorge sèche, mais j’ai osé lui demander s’il était d’accord pour réaliser le fantasme de mon épouse. Je m’en revenais pas de ce que je venais de faire, une partie de moi espérait que mon épouse se révolte, m’insulte, me traite de dépravé, mais aussi dans toute ma contradiction, une envie folle quelle s’offre aux caresses de cet homme.
    
    Charles s’est mis debout, son sexe tendu à l’extrême, complètement décalotté. Personne ne prononçait une parole. Il s’est approché d’Élisabeth, elle était comme figée, soumise. Il est passé dans son dos, l’a enlacée, ma femme semblait toute petite dans les bras de cet athlète. Elle a poussé une sorte de petit cri quand elle a senti le sexe de Charles toucher le bas de son dos, cette vision m’a excité au plus haut point. Les mains de Charles caressèrent d’abord les épaules de ma femme, il était d’une extrême douceur, puis avec délicatesse il est descendu sur ses seins. Par une sorte de réflexe d’autodéfense à ce moment-là, ma douce a protégé sa ...