1. Benoit, étudiant fessé à la fac (1)


    Datte: 24/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: lucienlana, Source: Xstory

    ... méritait pour être insolent, pour lui avoir menti et par-dessus tout, pour s’être laissé aller. Et en plus, il a certainement le physique idéal pour ça : des fesses bien attirantes et magnifiquement fessables.
    
    Benoit grimaça.
    
    — Mais Emma n’a pas le droit, et pas d’autorité sur moi. Vous vous en avez Louise, vous êtes ma tutrice, donc vous êtes in loco parentis. Et c’est ce que mes parents auraient fait s’ils savaient que je négligeais mon travail.
    
    — C’est-à-dire ?
    
    — C’est-à-dire, me mettre sur leurs genoux et me punir et me rougir les fesses comme il faut.
    
    Intérieurement, Benoit haleta de sa propre audace. Heureusement, il était très peu probable que sa prof rencontre un jour ses parents.
    
    — Je ne dis pas que vous ne la méritez pas. Mais je pense que l’université peut vous trouver des intendants pouvant s’occuper de ça. Puis au vu de notre relation prof élève, cela pourrait être pris pour du harcèlement.
    
    — Uniquement si je porte plainte, Benoit répondit.
    
    — Et je ne le ferai pas. Vous savez que je ne le ferai pas, je veux dire, pourquoi je le ferais ? Vous êtes là pour m’aider à réaliser mon mémoire. Vous avez dit être prête à m’aider par n’importe quel moyen, eh bien, c’est ce dont j’ai besoin Louise.
    
    Louise s’est levée et regarda pensive à travers la fenêtre. Finalement, elle se tourna et lui fit face.
    
    — Très bien, dit-elle.
    
    — Je vais faire ce que vous voulez, mais il y aura des conditions. D’abord, si vous parlez à qui que ce soit de ça, ...
    ... je renonce à être votre tutrice. Ensuite, peu importe ce qu’Héloise et Abelard ont fait, mais la seule chose que je ferai, c’est de vous fesser, rien d’autre, c’est compris ?
    
    Benoit acquiesça “OK.”
    
    — Et rappelez-vous que c’est une punition, pas de l’amusement ou de l’érotisme, si je vois que cela vous plaît ou n’améliore pas votre travail, j’arrêterai sur-le-champ. Alors je vous préviens Benoit, me demandez-vous une vraie fessée longue et douloureuse ? Etes-vous sûr de pouvoir supporter ça ? Si ce n’est pas le cas, c’est votre dernière chance de faire marche arrière.
    
    Derrière ses yeux noirs, Benoit réfléchit. Pourrait-il supporter la douleur ? Pourquoi s’était-il laissé aller comme ça ? Elle avait raison cependant, si cela devait avoir un impact sur son travail, alors il fallait que ce soit une véritable punition, sévère et douloureuse. Mais comment pouvait-il faire demi-tour maintenant ?
    
    — D’accord, dit-il d’une petite voix regardant le sol. Je suis d’accord.
    
    — Ainsi soit-il, dit Louise en se levant.
    
    — Bien, pour commencer, je vais fermer ma porte, dit-elle en se dirigeant vers celle-ci pour éviter que le bruit ne sorte de la pièce.
    
    — Oh et pouvez-vous fermer les fenêtres ? Nous ne voudrions pas que vos pleurs dérangent le quartier.
    
    — Je ne pleurerai pas, Benoit protesta bien qu’il obéit à l’ordre.
    
    — Ne sois pas si sûr jeune homme, a-t-elle répliqué ouvrant son bureau et fouillant à l’intérieur pour sortir une brosse à cheveux.
    
    — Joli spécimen ...
«1234...»