1. L'espionne captive (2)


    Datte: 24/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marla4, Source: Xstory

    ... me donner ce que je voulais, enfin ce qu’il croyait que je voulais puisqu’en effet je n’en étais pas encore au point où je succombais à mes instincts. Je savais que je pouvais résister. Il voulait que je le supplie, alors je devais me taire.
    
    Il semblait encore lire en moi puisqu’il me mit un bâillon, comme pour me faciliter la tâche - quel idiot, pensais-je, il se croit si malin mais je vais en venir à bout - et prit mes menottes pour me guider jusqu’à un salon. J’avais il est vrai un peu exploré la maison pendant mes repérages et ma mission ratée, mais n’avait pas eu le temps d’admirer à quel point la lumière était belle et la vue exquise. On voyait la plaine, entourée de palmiers et plus loin la mer. Mais comment tu peux penser à ça maintenant, tu devrais essayer de t’enfuir - je ne devais pas perdre de vue mon but qui était tout de même résister et m’échapper - même si le sexe est pour une fois épanouissant. J’avais connu beaucoup de relations abusives et j’n’avais vraiment pas eu des orgasmes pour toutes, ça ne se refuse pas.
    
    Il me fit asseoir sur un tabouret, m’enleva les menottes pour me passer les mains dans le dos, utilisant de fines mais fermes cordelettes qu’il enroula de nombreuses fois autour de mes poignets et de mes avant-bras, jusqu’à tout bloquer avec celles qu’il avait enroulées autour de mon cou, cette position faisant saillir mes seins avec mon dos cambré en arrière. Il me fit me mettre par terre, assise sur le côté, et entreprit de m’attacher les ...
    ... chevilles, délicatement, puis les lia avec mes poignets, me laissant un peu de marge mais m’obligeant à être à genoux mais dans le dos. Avec mon bâillon j’avais l’air d’une vraie esclave sexuelle, et mon ravisseur avait l’air content aussi puisqu’il bandait déjà, je voyais son pantalon tendu. Je mouillais déjà moi aussi, comme quand j’étais vierge presque, plus excitée par l’attente et mes rêveries que la réalité. Je m’abandonnais presque alors que j’étais entravée au maximum, par un inconnu - enfin il y avait les informations que j’avais obtenues mais avec ce genre de personne on ne sait jamais vraiment si tout est vrai - qui avait accès à tous mes orifices et ne se gênait pas pour s’en servir depuis hier. Je commençais à me demander pourquoi personne ne me recherchait, car pour une telle mission la relance après la mission doit être immédiate, je n’avais donné aucun feed-back et aucun de mes supérieurs ne semblait s’en inquiéter. C’était un coup monté ? Je commençais à m’énerver et serrais les poings, ce que ne put s’empêcher de remarquer le propriétaire des lieux, qui me caressa le clitoris en murmurant "Oh non ma belle, ce n’est vraiment pas le moment pour être en colère, de toute façon ici tu ne peux rien faire à part me servir de, si tu me permets, trou. Mais bien sûr un magnifique trou, mais tu n’as vraiment pas encore accédé même au rang d’esclave, encore moins de maîtresse digne de confiance. Nous verrons" et en disant cela il m’enfonça un doigt dans l’anus, assez ...