1. Bénédict...ions (4)


    Datte: 24/10/2018, Catégories: Trash, Auteur: deepysex, Source: Xstory

    — Et Bene, tu sais pas quoi ?! Je l’ai eu, hier. Putain, il est trop beau !!!...
    
    Ça a commencé comme ça, cette histoire-là. Je n’avais pas encore 23 ans, mais j’étais bien une femme. Petits seins c’est vrai, mais ventre bien plat, jambes fines et ce petit cul qui m’a attiré tellement de réussites et des sensations de folie. Les mecs aiment les jolies fesses bien dessinées, jeunes, vieux, avec du pouvoir, peu importe... les nanas aussi l’aiment.
    
    C’était Nathalie, ma meilleure amie, connue au lycée. Brune comme moi, nettement plus grande et plus généreuse en formes... toujours souriante et joviale. Elle plaisait bien, mais elle, son truc, c’était les mecs inaccessibles. Un genre de défi, je pense.
    
    Et là, elle avait réussi, avec ce type qu’elle m’a présenté quelque temps plus tard. Je ne suis pas forcément sensible aux mecs trop parfaits. Plus maintenant du moins, car à l’époque, lui m’a fait mouiller ma culotte juste en me regardant. Ce n’est pas une façon de parler.
    
    Yeux, sourire, charme, élégance, virilité. Milieu trentaine. Il avait tout... mais timide, comme moi, en apparence.
    
    Bien sûr, j’étais contente pour elle. On se disait tout à l’époque, et elle a vite saisi que son mec me plaisait, vraiment beaucoup.
    
    Quelques semaines plus tard, il y eut une petite soirée dans sa cité U. Un jeudi. Alors que ça se terminait et qu’on arrivait dans son studio, Daniel fit son apparition. J’allais les laisser quand elle me retint : « reste un peu, je te le prête si ...
    ... tu es gentille... » murmura-t-elle a mon oreille. Nous avions pas mal bu, et je lui demandais : "Gentille ? Gentille comment ?"
    
    — Vraiment très gentille... (puis plus bas) tu fais tout ce qu’on te demande sans discuter...
    
    Petits frissons... j’hésitais. Tentée et gênée à la fois, j’allais décliner et c’est lui qui insista de son regard trop intense : « reste un peu... », une main sur mon épaule pour me retenir. En silence, je restais.
    
    Il alla fermer la porte et tous deux s’assirent sur le lit de la petite chambre.
    
    Ils me regardèrent et Nathalie me glissa : « déshabille-toi... » avec un sourie malicieux.
    
    J’enlevais mon haut, mes chaussures, mon jean... Il me restait mon soutif blanc et un tanga noir. Je n’avais rien prévu ce soir, pas de cet ordre, alors forcément, ce n’était pas assorti. Inquiétude très éphémère, puisqu’un geste du menton me fit comprendre que mon bra était de trop, mes petits nénés furent aussitôt dévoilés. Ils me regardaient avec des yeux dévorants, s’embrassaient à pleine bouche, se caressaient. J’étais un spectacle, l’objet du désir et je prenais plaisir à m’exhiber ainsi devant cet inconnu si séduisant. J’avais envie de lui, je mouillais et j’espérais qu’il le savait. Elle, je l’enviais, moi aussi je voulais goûter cette langue, toucher ce corps et sentir ses mains sur ma peau... J’étais prête à répondre à toutes ses demandes, toutes leurs exigences, pourvu qu’il me prenne.
    
    Nath s’approcha pour me toucher un téton, son silence, très ...
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