Généreuse (3)
Datte: 23/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Hypnotisable, Source: Xstory
... s’allonge et devient rigide, entourée de plusieurs tours de corde à la base. Le balancement de ma poitrine change, il est moins fluide. La domina lance à voix haute:
«Regardez les gros pis de cette vache, meugle la vache !»
Je la regarde avec incompréhension, l’air de dire "elle est sérieuse ?" mais un coup sec frappe mes seins, je lâche un cri.
«Meugle la vache !
— MEUUUH », je suis pitoyable et ça attise mon feu interne !
De nouvelles personnes viennent voir la scène, on valide sa technique et ma position. Je suis une vache dans un zoo ! La même corde est repassée dans mon cou et entre mes jambes, de part et d’autre de mes grandes lèvres afin d’ouvrir mon sexe. Ceci a pour effet de me redresser la tête, d’augmenter la compression mammaire et de m’exposer encore plus, impossible d’éviter les regards, impossible de tourner la tête. Si certains couples vaquent à leurs occupations, beaucoup ont tout arrêté pour me savourer. La domina me caresse et me fouette doucement avec sa cravache, je ne vois plus Loïc qui a visiblement laissé la main à plus expérimenté. Je suis à l’affût, ils vont m’utiliser et je le redoute.
C’est une jeune et jolie soumise, envoyée par son maître, charismatique, qui s’avance vers moi. Elle m’embrasse tendrement sur la joue et me donne du courage par des mots simples « savoure ». Elle passe derrière moi et s’enfouit dans mon sexe. Me voilà broutée par une femme, exposée à la vue de tous les libertins. Je mouille énormément. La domina ...
... continu de passer doucement sa cravache sur mon dos, mon ventre ou mon cou pour me rappeler sa présence, elle soupèse mes seins ce qui les oppresse et donne une sensation indescriptiblement excitante. Le plaisir du cunnilingus se répand en moi, je n’oublie pas le côté humiliant de la situation mais je l’accepte. Je lâche prise, je franchis un cap et deviens une vraie soumise. Terminé le jeu de rôle, le relatif contrôle et le confort. Je me laisse aller, je m’abandonne, je savoure. Les coups de langue sont précis, mon clitoris et savamment masturbé ; personne ne peut faire mieux le sexe oral qu’une femme. Je commence à gémir, à lâcher des « oui » qui encouragent la soumise, la domina et un autre maître à s’approcher.
Lui me tripote la croupe, s’abaisse pour jouer avec mes seins, les téter et simuler une traite. Je le regarde impuissante ; c’est un mélange de douleur et de plaisir. Il me dit que je suis la plus belle vache qu’il est vu... Loïc avait raison ! Sans surprise il sort son pénis et le place dans ma bouche. Je ne résiste pas ce qui me vaut des félicitations, qu’aurais-je pu faire ?
A l’arrière, la soumise s’arrête et c’est un sexe qui me pénètre, il glisse en moi sans obstacle dans ce sexe naturellement lubrifié et artificiellement écarté ; je suis sans défense, impossible de savoir qui me prend dans cette situation. L’homme face à moi se retire et part se mettre derrière moi. La soumise revient face à moi et m’offre son sexe. Je le lèche tant bien que mal, pas ...