L'ombre du Passé Ch. 04
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... ans plus tard, elles eurent la même réaction qu'alors, sanglotant à chaudes larmes, ne pouvant confier leurs détresses à leurs proches, elles se disposèrent à obéir ; ayant déjà affronté le même chantage, les réflexes d'antan revenaient, tout pourvu que personne ne sache.
D'emblée elles adoptèrent toutes la politique de l'autruche, se cacher la tête pour ne plus voir le danger .
Le jeudi après midi, d'éventuels promeneurs se seraient étonnés à la vue de ces voitures luxueuses convergeant vers le même point : la grange aux loups.
Heureusement l'endroit était peu fréquenté, personne ne put donc s'en étonner, l'une après l'autre elles rangèrent leurs voitures, se reconnurent, inconsciemment satisfaites de ne pas être les seules sous influence.
Ali les attendait de pied ferme, il les regroupa dans une petite pièce qu'en compagnie de Mohamed Clothilde et Solange il avait mis deux jours à transformer en vestiaire .
Là elles furent priées de se déloquer, la tête basse, leur seule présence révélant leur soumission, le geste lent, angoissée elles se défirent de leurs atours dévoilant petit à petit leurs charmes.
Clothilde et Solange montraient l'exemple, exhortant par leur attitude les autres femmes à en faire autant, de toute manière, leurs corps et leurs esprits avaient admis cette solution, l'expérience vécue quinze ans plus tôt conditionnant leurs réflexes.
Craintives, elles écoutaient le brouhaha qui leur parvenait, au travers de la porte, de la salle ...
... voisine.
Ali y avait rameuté la bande de loubards qu'il fréquentait, une vingtaine de marlous, déjà à poils, piaffant d'impatience, vautrés sur des matelas, attendaient les femelles promises.
Cela leur avait coûté chacun quatre vingt euros, ils en voulaient tous pour leur argent, et comptaient bien utiliser les femelles promises sous tous les angles tout au long de l'après-midi .
Enfin, une à une ils les poussa dans la grande salle sous la lumière crue des spots disposés ça et là.
En ligne, cuisses serrées, une main protégeant de façon dérisoire leurs toisons, l'autre couvrant les seins, elles se tenaient debout face à leurs bourreaux, certaines comprenant dans leur chair que le cauchemar re-prenait, les autres la tête vide, toutes effondrées.
Ali donna le signal de l'orgie, empoignées par les hanches, les seins, la taille, elles s'affalèrent sur leurs suborneurs.
Tout de suite des mains baladeuses se promenèrent sur leurs courbes, s'imprégnant de leur chaleur, des doigts vicieux forcèrent leurs ventres contractés, leurs anus crispés.
Bientôt elles se retrouvèrent toutes investies, les plus chanceuses ne profitant d'une seule queue, les plus tentantes satisfaisant simultané-ment trois membres fiévreux.
Quelques claques retentissaient parfois, mais dans l'ensemble elles sa-tisfaisaient, complaisamment leurs partenaires, les chattes grandes ouvertes accueillant des braquemarts inconnus, les trous du cul crispés sur les membres qui les emplissait, les bouches ...