Mon fils, cet étalon. (23)
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tomy83, Source: Xstory
... couler. Quand il commence à se retirer, je l’en empêche.
— Chut... Laisse-moi faire. Laisse-moi t’aimer... comme Coco t’aime.
Je diminue la pression sur ses reins. Il bouge son bassin et laisse son gland à l’entrée de ma chatte. Je le sens palpiter. Je contracte mes muscles vaginaux avant qu’il ne rentame sa pénétration. Il ferme les yeux.
— Putain, que c’est bon... Ouiii !!!
Il se masturbe plus qu’il me baise. J’aime sentir son pénis sortir de mon puits et me réinvestir avec lenteur, avec douceur. Nos bouches ne se quittent plus. On joue avec nos menteuses. Je lui suce la sienne, il me suce la mienne. On est que tous les deux dans cette chambre conjugale. Mon regard se voile, je jouis en silence. Quand il me retourne, je ne suis plus qu’une poupée. Il reprend possession de mon corps en me tenant plus fermement par les hanches. Comme quoi les hommes sont faibles à la vue d’un cul offert, ils ne peuvent plus se retenir. Ils retrouvent leur instinct animal, dominateur. Il me prend plus sauvagement, ce qui n’est pas pour me déplaire. Cette fois, je hurle, cela le motive. Il est endurant, le bougre. Je contracte mes muscles. Il me traite de salope, de pompe à jus. J’y suis, je sais ce qu’il aime.
— Vas-y, défonce-moi...
— OUI, prends ça...
Je jouis une nouvelle fois avant qu’il ne se déverse en moi. Je m’affale sur le matelas inondé. Il me suit et c’est un baiser d’amour que l’on échange. Je suis sur un petit nuage quand Coco vient nous embrasser. Elle ...
... quitte la chambre, nous laissant reprendre notre souffle.
— Je t’aime Christine, tout autant que Coco.
Je ne lui réponds pas, je lui souris. Il se lève et s’en va dans la salle de bain.
— T’es un sacré bout de femme, je comprends mieux Coralie, maintenant. Depuis le temps qu’elle me parle de toi.
Je me lève et je m’appuie sur le chambranle de la porte.
— Tu sais, je suis vraiment amoureuse de Coralie...
— Je sais...
— Cela ne te dérange pas ?
— On est amoureux de la même femme et l’on n’y peut rien. La partager avec un mec, non, mais avec toi... Hum.
— Petit pervers, lui dis-je en le rejoignant sous la douche.
Il me savonne et semble réfléchir, puis se lance :
— Tu veux vraiment qu’on se la partage ? Que l’on vive tous les trois ?
— Euh... Ce n’est pas un bout de barbaque et je vis ici depuis plus d’un mois.
— Et ton appart ?
— Abandonné à mes parents.
— Ah. Et comment l’ont-ils pris ?
— Plutôt bien ; mais cela est un peu compliqué. On t’expliquera... si tu es sage.
Il m’embrasse avant de me donner une claque. Il va rejoindre sa dulcinée, notre dulcinée.
Je m’habille, me maquille. Quand je les rejoins, ils sont allongés côte à côte et Pierre déclare qu’il nous faut un lit plus grand et une armoire supplémentaire. Il aime ses aises.
Il me regarde et nous dit :
— Vu que vous me voulez toutes les deux, je désire quelques compensations. C’est moi qui choisis vos tenues.
Il part vers la chambre et sort deux tenues ...