1. Histoire d'une culotte rouge


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme Première fois Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Je n’envie pas les femmes qui aiment porter des tenues légères, car il n’est sûrement pas simple de veiller sans cesse à se tenir en public. Toutes n’y parviennent pas. C’était le cas de Léa.
    
    Maintes fois il était arrivé qu’on voit son soutien-gorge quand elle se penchait en avant, par exemple. C’était au cours de soirées entre amis, mais aussi pendant des repas de famille. Plusieurs fois elle avait également eu tendance à ne pas serrer suffisamment ses cuisses.
    
    Un soir de Noël, par exemple, je me souviens qu’il s’en était fallu de peu pour que mon père soit en mesure de voir sa culotte. J’avais prévenu Léa juste à temps.
    
    Un autre soir, en présence d’un couple d’amis, elle s’était approchée d’une table et nous avions tous vu ses tétons pendant quelques instants. Je l’avais également prévenue.
    
    Mais je ne lui en voulais jamais car, je le répète, je suppose qu’il n’est pas simple d’être une femme qui aime porter des tenues légères. Et moi-même, j’aimais qu’elle en porte. Elle avait un très beau corps et je ne me souviens pas l’avoir vue dans des vêtements qui ne lui allaient pas. Elle était assez grande et mince. Les cheveux longs et bruns. La peau très claire.
    
    Puis il y eut cette soirée où mon collègue Julien vint prendre un verre chez nous à la sortie du boulot. Il n’avait vu Léa qu’une seule fois, quelques semaines avant. C’était au début de l’été. Léa portait une élégante robe noire à bretelles, assez courte, qui se boutonnait devant. Je me souviens qu’elle ...
    ... était pieds nus. Je me souviens aussi qu’elle portait un soutien-gorge rouge dont on distinguait les bretelles. Elle s’était assise au milieu du canapé, tandis que Julien et moi occupions les fauteuils disposés en face d’elle, de l’autre côté de la table basse où se trouvaient les verres, une bouteille de vin blanc, des biscuits salés et le cendrier. Il y avait de la musique en sourdine et nous avons rapidement terminé la première bouteille.
    
    La nuit était tombée quand j’ouvris la troisième. Je m’en souviens très bien aussi.
    
    Je pense pouvoir dire que notre vie de couple a commencé à basculer aux alentours de minuit, lorsque Léa s’est avancée au bord du canapé pour s’emparer de son paquet de cigarettes et s’en allumer une. La scène a duré une dizaine de secondes, à peine. Dans son mouvement, Léa a ouvert ses cuisses et j’ai vu la même chose que Julien : ses lèvres sous sa culotte rouge transparente.
    
    Puis elle est retombée en arrière et a croisé ses cuisses.
    
    Il me suffit de fermer les yeux pour revoir la scène. Comme si c’était hier. Je n’en revenais pas. Léa ne s’était aperçue de rien, mais mon collègue savait dorénavant que ma compagne avait la chatte lisse comme un galet.
    
    En temps normal, j’aurais fait en sorte de dire à Léa de faire attention, mais je ne l’ai pas fait. J’ai choisi de ne pas le faire, pour la simple et bonne raison que je me suis mis à bander, férocement. Au point d’en avoir mal au bout d’un moment. Au point d’espérer que Léa ne tarde pas à ...
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