1. La Rando (4)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Gay Auteur: Poiluhds, Source: Xstory

    ... Ah... cool... c’est bête, j’ai pas pris de maillot.
    
    — Moi non plus.
    
    Je lève la tête pour échanger un sourire avec lui et finis de me mettre à poil sans insister. L’eau est divine et je sens mon corps se détendre immédiatement.
    
    — Tu devrais venir, c’est génial.
    
    Eric semble hésiter.
    
    — Euh... non..... tant pis...
    
    — Comme tu veux.
    
    Il semble néanmoins très tenté de profiter de l’occasion. Il n’y a personne sur le chemin et Eric finit par se mettre en caleçon et venir me rejoindre dans l’eau.
    
    — Ah... P...... c’est trop bon.
    
    Il nage comme un enfant et je suis heureux de le voir profiter de cette nature sublime.
    
    Nous sortons de l’eau et je sens qu’Eric est un peu hésitant. Moi je m’allonge sur un rocher sur la berge pour me sécher au soleil. Il vient s’allonger à côté de moi.
    
    Au bout d’une demi-heure de repos, je donne le signal du départ avant que nous nous endormions et prenions trop de retard.
    
    — On y va ?
    
    — OK.
    
    Je me rhabille et je vois qu’Eric me tourne le dos. Il enlève son caleçon encore mouillé et j’admire ses fesses poilues qui me rendent fou de désir. Il se penche pour prendre son short et dans les deux secondes où j’entrevois son sexe, je comprends qu’il bande. Il enfile rapidement son short et se retourne et je n’ai que la confirmation de ce que j’ai vu. Sa queue est gonflée et serrée entre le tissu beige et la peau velue de sa cuisse droite. Je devine que son gland est exactement à la limite du tissu et je sens ma queue au bord ...
    ... de l’explosion. J’imagine qu’il va être gêné pour marcher tant que son pénis sublime ne sera pas revenu dans son état normal.
    
    Je fais semblant de ne rien remarquer, mais je suis complètement sous le charme et excité. Les effets du soleil et de la nature ne se sont pas fait attendre sur moi.
    
    Nous reprenons notre chemin, Eric passe devant et je préfère fixer mon regard sur son petit cul que je sais nu dans le short moulant et qui se balance comme le pire objet de tentation sous mon nez. Je revois sa queue et je transpire à grosses gouttes sans savoir si la marche est la seule cause de ces effets.
    
    Nous arrivons au refuge dans la fin de l’après-midi et prenons nos places, deux lits superposés, dans un dortoir de six personnes.
    
    — Tu crois qu’on peut se doucher ici ?
    
    — En général c’est compliqué, il y a peu d’eau... la plupart du temps, je vais me laver dans un lac à coté.
    
    — AH... OK... je vais voir pour les douches quand même.
    
    Il m’amuse. Presque timide dès que l’on aborde la question du corps et de la nudité. Il revient bredouille.
    
    — T’as raison, le gardien m’a dit que les citernes étaient presque vides et que ce serait sympa de laisser l’eau pour les filles.
    
    — Oui... c’est ce qu’on fait en général. Moi je vais au lac, il fait encore beau et je suis couvert de poussière. Tu viens ?
    
    Eric ne répond pas, mais m’emboîte le pas. Nous arrivons au lac. Je me mets à poil et plonge dans l’eau. Puis je me lave avec un savon écologique qui ne pollue pas les eaux ...