1. Notre premier jour de vacances


    Datte: 08/02/2018, Catégories: Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe Auteur: fetm, Source: xHamster

    ... bite et le ballotement de mes couilles contre son clitoris. Elle gémissait de bonheur en se faisant pilonner par cette jeune queue qu’elle n’avait encore jamais senti au plus profond de son con.
    
    Clara pompait toujours le noeud du bel inconnu, léchait ses couilles, savourait ce moment d’extase. Parfois, elle tournait la tête pour me regarder empaler sa rivale avec ardeur.
    
    Je voulais profiter au maximum, je sortis donc mon manche du trou brûlant pour ne pas éjaculer trop tôt. Clara mît fin à sa fellation et vint s’allonger sur le dos devant ma compagne éphémère qui, sans hésitation, commença à lui bouffer la chatte avec envie. Je ne savais pas que Clara avait des attirances envers les femmes mais l’excitation du moment poussait à découvrir de nouvelles expériences. Elle couinait sous les coups de langues précis de la quadragénaire en rut. Un bruit attira mon attention, je vis l’homme seul qui était sur la plage traverser le bois dans notre direction, son imposant sexe à la main. Il se plaça à nos côtés et se palucha en observant nos deux femmes à poil et proches de la jouissance. Le quadragénaire s’avança derrière la croupe de sa femme et lui introduit sa bite dans l’anus. L’anneau n’eut aucun mal à s’ouvrir sous la pression de cette grosse bite qui pénétra profondément et brutalement en elle. La sensation intense de la sodomie la coupa dans le cunnilingus sensuel qu’elle faisait à mon épouse. Clara se mit alors à quatre pattes et ses yeux me supplièrent de la prendre en ...
    ... levrette. Mon pénis s’engouffra sans difficultés dans son minou, plus étroit que celui de la quadra, et je l’emmenai au septième ciel, m’activant ds son bas ventre qui aspirait ma queue jusqu’à la garde. Son vagin avait soif de mon sperme.
    
    Les deux femmes en levrette face à face, s’embrassèrent avec passion, leurs langues tourbillonnaient l’une autour de l’autre. Le trentenaire vint placer sa belle verge entre les deux bouches saliveuses. Il entreprit des va-et-vient au contact de leurs lèvres pendant que le quadra et moi, défoncions les orifices brûlants de nos épouses. Nos coups de boutoirs se répercutaient sur la pression qu’exerçaient les langues sur la queue de l’homme solitaire. Il ne tarda pas à déverser son abondant foutre sur le visage des deux sublimes cochonnes.
    
    Elles se léchèrent mutuellement pour récupérer la sève chaude et blanchâtre offerte par cet inconnu.
    
    C’en était trop pour nous, nous déchargeâmes en même temps notre sperme, lui dans le cul et moi dans la chatte de nos conjointes suffocantes de plaisir. Le flot important de foutre projeté dans leurs orifices secoués de spasmes les fit jouir simultanément. Leurs hurlements de bonheur furent longs et intenses, à la mesure de leurs orgasmes.
    
    Après quelques instants, nous retirâmes nos bites ruisselantes d’un mélange de mouille et de sperme. Le souffle encore haletant, le corps tremblant, nous nous mîmes debout. Le trentenaire bien membré partit sans dire un mot.
    
    Nous discutâmes longuement avec ...
«12...4567»