1. Marie et le sculpteur aveugle (16)


    Datte: 22/10/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory

    ... toujours.
    
    Je tombe dans ses bras. Il m’enlace amoureusement et nous restons ainsi un bon moment.
    
    — Marie…je sais que ces merveilleux moments auront une fin que j’espère la plus lointaine possible, mais je ne sais pas ce qui va se passer quand tu ne seras plus là…je ne sais pas comment je pourrai me passer de toi
    
    « C’est une déclaration d’amour ? » je réponds en rigolant comme une idiote, ne me rendant pas compte de la profondeur et de la sincérité de son aveu.
    
    Il m’enlace encore plus fort jusqu’à me couper le souffle.
    
    Puis, rassasiée de sexe pour le moment, je me relève et plonge dans la piscine pour me rafraichir et me laver de ces traces impures.
    
    **********************************************************************
    
    A L’HÔTEL
    
    Devant moi dans la chambre de l’hôtel, soudainement, Marie pleure.
    
    — Ça ne va pas ??
    
    — Si, si…
    
    Elle s’essuie les larmes.
    
    — Je pleure car je me rends compte que c’était la dernière fois que je l’enlaçais amoureusement et que je me suis levée de sa chaise comme une petite imbécile sans prêter plus d’attention à ce qu’il venait de me dire et qui n’était ni plus ni moins qu’une déclaration d’amour .
    
    Je la regarde décroiser les jambes et depuis le bord du lit où je suis assis en face d’elle, je ne peux rien jurer mais au vu du fard qu’elle prend et assaille ses joues, je crois pouvoir dire que sa culotte est complètement trempée !
    
    Ce qui ne m’étonne pas car mon slip est dans le même état et je dois ruser de ...
    ... contorsions pour ne pas laisser paraitre la bosse dure qui pointe sur le devant de mon froc.
    
    C’est donc plié en avant que je l’encourage à reprendre avant qu’elle ne s’en aperçoive.
    
    Nous sommes si proches l’un de l’autre que je dois reculer mon pied à chaque fois qu’elle décroise ses jambes.
    
    Elle boit un coup et reprend.
    
    — Ce jour-là il ne s’est rien passé d’autre. Jusqu’au lendemain…le dernier jour.
    
    **********************************************************************
    
    LE JOUR DU DRAME
    
    Le lendemain, comme à mon habitude, je me lève tard. Le soleil est déjà haut. Je prends une douche rapide pour me réveiller et un café et passe la seule culotte qui me reste et la petite robe que j’ai mis tant de mal à laver après la séance d’essayage.
    
    A peine mon café avalé, mon esprit vagabonde. Je me rends compte que je n’ai aucune envie de me replonger dans les quelques bouquins que j’ai achetés pour préparer ma rentrée scolaire. Les premières pensées que j’ai sont pour le sexe !
    
    Je réalise que mes journées sont désormais accès dessus ; que je me demande quel sera la prochaine occasion de m’éclater. Je réfléchis même comment provoquer une occasion…demander au prof de me sculpter…attendre que Manuel vienne me chercher pour reprendre la répétition de ce spectacle incroyable…ou la visite de Robert pour une séance photos qui dégénèrerait…ou même la belle Brigitte qui viendrait se joindre ou encore Alain…ce manipulateur subversif qui m’entrainerait dans une nouvelle séance de ...
«12...8910...»