Retour en Tanzanie
Datte: 21/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Mic79, Source: Hds
... n’est pas dilaté, mais sa tige progresse malgré tout, puissamment , pour finalement toucher le fond de mon vagin ; je devrais me révolter, me débattre , mais au contraire , j’écarte le plus possible mes cuisses , favorisant ainsi la saillie, car s’en ai une ; peu importe mon avis, il me baise, il prend son droit de cuissage, fier, puissant ,performant ; sous ses coups de butoirs, je ne suis que jouissance, il me possède et je suis à lui et il en profite. Je ne sais combien de temps il m’a besogné, se libérant au moins deux fois de sa semence, avant de quitter la case comme il y était rentré, en silence.
Alors que son sperme s’écoule sur mes cuisses, j’essaie de récupérer de mes jouissances ; il vient de me saillir et j’y ai pris plaisir. Plaisir qui ne vas pas durer car alors que je m’apprête à me relever, je vois avec terreur entrer Moa, lui aussi nu, le sexe bandé, arrogant et ses paroles me figent de peur :
« tu m’as repoussé à la fin du séjour, tu as pris ton plaisir avant de me jeter , et ce devant ton mari ; ici il ne peut rien et tu m’appartiens, tout à fait normalement ; c’est le droit de tout homme et je vais pouvoir faire de toi ma femme ; tu as bu de notre boisson pour l’amour et après mon départ , ma queue te manquera »
Je n’ai pas le temps de répondre que son corps s’abat sur moi et que sans aucune difficulté son mandrin s’enfonce en moi, conduit il est vrai plein de semence ce qui lubrifie le passage ; il est brutal, possessif, et je retrouve ...
... bizarrement les sensations lors de mon premier séjour, où il m’avait fait jouir plusieurs fois intensément. Et là bien que je ne devrais pas me libérer, je sens mon corps s’ouvrir à ce vit qui me défonce et il le comprend vite
« tu vois, ma queue déjà te possède et tu y prend plaisir ; tu es à moi et je vais te couvrir sans tu puises retenir ta jouissance » et il a raison car mon ventre est plein de désir et réclame ses coups de butoirs ; il le sens et il se déchaine , me percutant, dilatant ma matrice de son membre conquérant ; je râle , je crie mon plaisir, je m’accroche à son corps , réclamant encore plus , lui demandant de me remplir de sa jute. Mais il joue avec mon corps et se retirant, il me retourne me mettant à genoux sur la couche et d’une poussée, il réinvestit mon antre dilatée ; sous son emprise, je ne suis que plaisir, plus rien ne compte que sa bite qui me ravage le ventre et quand il éjacule, je me cambre allant au-devant de ces jets. Je pensais en avoir fini, à mon grand regret, je le reconnais, mais j’aurai du me méfier..
Car sa queue encore bandée vient se frotter sur mon sillon, et pleine de sécrétion, elle pousse l’anneau ; je me débats car la tige est trop grosse pour me sodomiser mais à nouveau , me bloquant contre lui il me dit
« pour prouver sa puissance devant moi, ton mari t’a possédé ainsi, et ce soir c’est moi qui vais te saillir le cul ; tu es ma chose et tu vas gouter à ma sodomie, et je suis sûr que tu vas l’aimer » poussant sur mes fesses , son ...