1. Initiations érotiques


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Luxurieuseparis, Source: Hds

    Comment je suis devenue salope.
    
    L’envie de partager mes nombreuses et variées expériences sensuelles et sexuelles m’est venue.
    
    Je m’appelle Agnès, j’ai 35 ans, je suis brune (1,70 m; 65kg, belle poitrine, ferme et beau cul, si j’en crois ce que l’on dit). Je ne vais pas écrire un récit mais raconter de la façon la plus simple et pourquoi pas fort crue certaines aventures qui devraient donner des idées aux lecteurs et lectrices sur qui je suis.
    
    Dès l’âge de 16 ans j’ai commencé à rentrer dans le monde trouble et délicieux de la débauche : des flirts innocents puis de plus en plus poussés avec des copains de classe puis des hommes plus âgés. J’ai toujours aimé et aime encore porter des tenues qui permettent de dévoiler mes charmes aux regards et de les offrir aux caresses. A 20 ans, jeune étudiante déjà assez délurée, j’ai rencontré un homme de 50 ans, assez, voire très, cochon, qui m’a initié aux dévergondages. C’est grâce à lui que je suis devenue une vraie salope pour mon plus grand plaisir et celui de mes rencontres très nombreuses.
    
    Il aimait me donner des ordres et me faire rencontrer des types (mais aussi des femmes ou des couples) aux caprices de qui je devais obéir. Par exemple me faire baiser, sodomiser, ou que je devais sucer, devant qui je devais m’exhiber, me faire tripoter en public, mouiller ma petite culotte etc. Ce n’est pas moi qui les choisissais et je devais lui faire un rapport écrit ou oral (les types lui racontaient aussi comment je m’étais ...
    ... comportée). J’ai assez rapidement pris goût à ces rencontres avec des inconnus. Je devais porter des tenues assez sexy (jupes courtes, voire très courtes, en jean ou en cuir, tee-shirt bien moulants sans soutien-gorge, petite culotte ou string en coton blanc, jamais de collants, parfois des bas autofixants, bottines ou escarpins …) Au début nous faisions nos petites cochonneries dans ma voiture ou dans les toilettes du café où nous avions rendez-vous (pour exhibs, caresses, fellations, petits jeux mouillés…), ou alors on allait à l’hôtel pour les parties de baise plus sérieuses. Je me sentais très pute. Ca ne me déplaisait pas (j’aime assez passer pour une pute, hum !) Un jour je me suis retrouvée en compagnie d’un couple. Il ne m’avait pas prévenu et c’était la première fois que je me livrais à un couple et que j’avais rapport avec une femme. Ils étaient assez autoritaires et vicieux. J’ai été bien obéissante. Pendant qu’il m’enculait je broutais le minou de sa salope. C’était bon, très excitant (j’ai bien des fois renouvelé cette expérience délicieuse de luxure).
    
    Au bout de deux ans, environ, mon maître a dû quitter Paris. Je me suis retrouvée livrée à moi-même. J’avais conservé beaucoup de téléphones de mes rencontres. J’en ai profité, c’est moi qui choisissais, invitais chez moi pour de petites parties (quand j’avais besoin d’argent, je n’hésitais pas à me faire payer… et j’avais souvent besoin d’argent !)
    
    Beaucoup d’autres histoires à raconter, je ne le ferais que si ...
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