En route vers la liberté - Histoires de Sexe

En route vers la liberté

... relève une jambe ; ainsi ses cuisses sont largement écartées. Le routier doit voir clairement la chatte sous la jupe relevée sur les seins. Je tends la main et la passe sur son sexe.

— Écarte bien les jambes. On va lui faire voir mieux ta chatte. Ça va le faire bander.

La situation l’excite de plus en plus, elle mouille comme une folle. Je la touche ; mes doigts suivent la fente de sa chatte, remontent sur son clitoris, puis descendent jusque dans sa raie. Le routier klaxonne, nous fait signe de nous arrêter dans la prochaine aire de repos. Je continue à la caresser ; mes doigts s’insinuent dans sa fente. Je sépare ses lèvres vaginales, dévoilant la chair rouge de son sexe. Je lui enfonce un doigt et le fait tourner lentement. Les yeux fixés sur l’autoroute, je conduis d’une main et la masturbe de l’autre. Elle est au bord de la jouissance quand je retire mon doigt.

— Tu veux qu’on s’arrête, tu as envie de te faire prendre par ce mec ?
— Non, j’en ai envie mais c’est risqué.

J’accélère donc pour semer le camionneur qui klaxonne et fait des appels de phares. Vanessa a toujours les pieds sur le tableau de bord et le sexe à l’air. Elle n’a pas envie de se rajuster. Je remets la main entre ses cuisses. Je touche ses lèvres molles et collantes.

— Ça t’a excitée, hein ? Ta moule est trempée. Tu es vicieuse.
— Et toi, c’est toi qui voulait là, que je m’exhibe. Sans toi, je ne me conduirais pas comme çà.

J’enfonce mon doigt lentement et le fait bouger dans son ...

... minou brûlant.

— Tu vas voir, on va se payer du bon temps tous les deux, pendant ces vacances. Là où on va, personne ne nous connaît, on pourra se conduire comme un couple super chaud. On satisfera toutes nos envies. Tu es O.K. ?

Elle fait oui de la tête. Je passe mon doigt gluant de mouille sur son clitoris. Je lèche mon index avant de reposer ma main sur le volant.

— Continue toute seule, branle-toi.

Elle écarte les genoux à nouveau. Je lui demande de se tourner vers moi.

— Je veux te voir te toucher. Je veux voir ta chatte s’ouvrir sous tes doigts.

Elle s’adosse contre la portière, une jambe repliée sous elle pour pouvoir écarter les cuisses au maximum. Le plafonnier est toujours allumé. Son léger duvet pubien forme une ombre sur son mont de Vénus. Je vois la fente vermillon de son sexe. Je l’observe en coin.

— Vas doucement. On a le temps. Fais durer, ça sera meilleur. Exhibe-toi bien. Montre ton trou.

Elle tire sur ses lèvres vaginales, faisant bâiller sa fente. Ses chairs à l’intérieur, sont rouges et suintantes. Elle rentre son doigt lentement, pour que j’ai tout le loisir de le voir s’enfoncer. Son odeur intime flotte dans le véhicule comme un parfum obscène. Elle ajoute un deuxième doigt et se masturbe. Je serre le volant et l’encourage.

— Vas-y, branle-toi ! enfonce bien tes doigts ! Fais-les bouger. Va tout au fond. T’aimes ça, hein, que je te regarde ? Ça te fait mouiller !
— Oui, j’aime ça ! regarde-moi bien ! Je suis une vicieuse… Je ...