1. Job d'été, jeu d'été (7)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: xstorycle, Source: Xstory

    ... à entendre le bruit d’un préservatif qui s’ouvre et... je suis surprise de sentir sa langue sur mon anus ! J’ai un brusque geste de recul mais, finalement, je me laisse faire et je prends du plaisir à sentir sa langue parcourir mon anus et tenter d’y pénétrer. Il me propose alors de retourner au niveau du banc, une jambe de chaque côté, et les avants-bras posés sur le banc. C’est une position que j’aime beaucoup, j’accepte volontiers.
    
    Je jette un coup d’œil du côté de Didier et m’aperçois qu’il se branle ! Il croise mon regard courroucé et s’arrête brusquement. Trop tard, le mal est fait. Je songe à lui dire que cette fois ne comptera pas, quand je songe à une solution plus appropriée : « Puisque tu n’es pas capable de ne pas te toucher, Didier, tu vas venir écarter mes fesses pour que Marc m’encule facilement. Et quand il sera dans mon cul, tu garderas tes mains occupées à me caresser les cheveux. OK ? ». Il grommelle et s’approche.
    
    Je me mets en position. Didier m’écarte les fesses, en grommelant toujours. Marc enfile un préservatif et entre doucement dans mon cul. Personne ne m’a enculée depuis le départ de mon chéri pour ...
    ... l’Outre-Mer, il y a plus d’un mois. Je crains que la reprise ne soit difficile mais, une fois de plus, il fait les choses bien et je prends beaucoup de plaisir. Il entre son sexe doucement, sans aucune difficulté. Didier, comme nous l’avions convenu, me masse les cheveux. Il ne cherche pas à faire autre chose ou à s’aventurer sur une autre zone. Il semblerait qu’il comprenne enfin que je ne plaisante pas. Toujours doucement, Marc commence à faire des va-et-viens. Mon cul, vraiment en manque, s’ouvre comme une fleur. Il accélère petit à petit, puis varie le rythme habilement. Lui si réservé et silencieux jusque là devient expressif. Il met ses mains sur mes hanches pour unir nos mouvements et pour enfoncer son sexe bien au fond de mon cul. Il ne lui faut que quelques minutes pour venir. Quand il se retire, il me tapote les fesses et me dit qu’avec une vue pareille, il n’avait aucune chance de durer.
    
    Didier arrête de me masser le crâne. Je me relève et lui dit : « Je pense que l’on est quittes, désormais. ». Énième grommellement.
    
    Je me rhabille rapidement. Ce n’est pas tout, mais il faut bien que je bosse, de temps en temps... 
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