1. La bourgeoise et le puceau. (13)


    Datte: 20/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... voiture, François dit à son neveu
    
    — Florian, installe toi à l’arrière avec Hélène. Tu y seras plus à l’aide et je vais jouer au conducteur de maître qui vous promène avant de rentrer à la maison.
    
    Nous voilà donc en goguette dans le Bois de Boulogne. A l’instar de tous les autres conducteurs qui font des tours et des contours dans le bois à la nuit tombée, François roule quasiment au pas pour mieux regarder les transsexuelles et autres prostitués qui déambulent sur les bas côtés. Pendant ce temps, Florian ne perd pas son temps et il a découvert, avec un plaisir non dissimulé, que je suis en lingerie sous mon manteau prête à assouvir ses envies.
    
    François me dit alors
    
    — Chérie, suce bien Florian tandis qu’il mate ses superbes créatures que l’on voit des deux côtés de l’allée.
    
    Je me penche sur le siège arrière, débraguette mon jeune neveu, sort sa queue de son jean et le prend en bouche. J’aime son odeur de jeune mâle et cette virilité juvénile qui grossit sous l’action de ma langue.
    
    Florian se laisse sucer et je l’imagine en train de regarder ces femmes qui s’exhibent dans la nuit. Elles sont toutes perchées sur des escarpins ou bien chaussées de hautes cuissardes en cuir. Comme il fait relativement doux, elles sont toutes en lingerie ; les plus frileuses s’affichent dans un manteau grand ouvert. Elles ont les seins provocants, fièrement dressés vers des clients potentiels ; c’est du toc siliconé mais cela semble si vrai. Un simple string suffit à cacher leur ...
    ... sexe même si certaines, exhibant outrageusement leur phallus de mec, revendiquent ostensiblement leur double nature.
    
    François me mate parfois dans le rétroviseur intérieur pour vérifier que je suis appliquée à mon ouvrage. Bien calé dans la banquette en cuir noir, Florian se laisse aller et son sexe me remplit maintenant entièrement la bouche. Je lui caresse les bourses, ma langue va-et-vient sur sa hampe dressée, j’aspire goulûment son gros champignon violacé, je l’avale entièrement jusqu’au fond de ma gorge et mon entrejambes devient de plus en plus moite. Soudain François arrête la voiture et baisse sa vitre. Je relève la tête et je le vois en train de discuter avec une fille penchée vers la fenêtre de la voiture. Puis la portière arrière s’ouvre de mon côté et elle s’installe à ma droite.
    
    La fille, une superbe brésilienne me semble-t-il, ne porte qu’une simple minijupe rouge qui cache à peine un string de même couleur. Ses deux énormes seins, du 95 E ou F, sont comprimés dans un petit haut assorti transparent. Elle est métissée, de belles lèvres bien charnues et de longs cheveux noirs. Elle se tourne vers moi, me dit qu’elle s’appelle Loréna et m’attire à elle pour m’embraser avec fougue. C’est une première pour moi et je suis sûr que la situation excite François. Cela ne semble pas choqué Florian qui me caresse maintenant les fesses avec ses mains. La banquette arrière est suffisamment grande pour me permettre de me mettre quasiment à quatre pattes entre mon neveu ...