1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l?épouse hypersexuelle (44) : Un début de vacances prometteur


    Datte: 20/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... bronzant, ou chassant des petits grains de sable sur mes seins. Ou encore, m'accroupissant en leur tournant le dos. Dans cette position, j'imaginai le panorama que j'offrais à ces messieurs !
    
    Non seulement je prenais goût à l'exhibition mais en plus j'étais fière de montrer mon cul à des inconnus.
    
    Un jeune homme seul s'installa à quelques mètres de nous. Il était habillé et j'attendis quelques instants pour le voir se mettre nu, intéressée de voir ce qu'il avait entre les jambes. Malheureusement, le jeune homme ne se déshabilla pas. Je me dis qu'il bandait peut-être déjà et qu'il n'osait du coup pas se mettre nu. Philippe m'attrapa par la main et m'entraîna dans l'eau. Les vagues étaient puissantes et on resta avec de l'eau à mi-cuisse pour éviter de se faire emmener. Du coup son érection restait hors de l'eau et, malgré la fraicheur de l'eau, il ne parvenait pas à débander.
    
    - Mon pauvre chéri... Je n'entrevois que deux solutions à ton problème...
    
    - Ah oui, lesquelles ?
    
    - Soit tu t'allonges sur ta serviette sur le ventre, ainsi personne ne verra que tu bandes magistralement.
    
    - Ou bien ?
    
    - Soit je m'occupe de toi...
    
    Je pris conscience alors de la présence du jeune homme proche de nous.
    
    Il était toujours habillé et jetais régulièrement des regards discrets dans notre direction. J'eus alors un doute terrible :
    
    - Tu crois qu'on a le droit de faire l'amour ici ?
    
    - Bien sûr que non, ça reste un lieu public. Mais on va essayer d'être discret.
    
    - ...
    ... Il y a le garçon juste là, toujours habillé...
    
    - Il n'ose pas se mettre à poil parce qu'il bande comme un âne, j'en suis certaine.
    
    - Approche, on va essayer d'arranger ça discrètement.
    
    Je me tournais sur le côté et reculais contre lui, collant mes fesses contre le sexe de Philippe.
    
    Nous étions si excités l'un comme l'autre par l'interdit de notre acte que nous fîmes l'amour plutôt rapidement : l'orgasme vint nous faucher en moins de dix minutes. Philippe se répandit en moi, en retenant ses cris. Je pinçais les lèvres pour ne pas gémir.
    
    Je restais de côté. Je me remettais de mon orgasme lorsque je remarquais que le jeune homme installé non loin de nous était en train de se masturber, sans chercher à se dissimuler. Il était toujours habillé mais avait baissé son pantalon et s'astiquait tranquillement en me regardant.
    
    - Approche un peu, toi !
    
    Le jeune homme souriait. Il se leva et acheva de se mettre nu, finalement pas gêné du tout par l'exhibition de son érection. Je lui fis signe de venir s'installer à côté de moi. Il s'allongea alors à côté de moi, le sexe tendu vers le soleil.
    
    - Je peux la toucher ?
    
    - Oui, bien sûr.
    
    Je saisis le sexe raide et le masturba lentement. Le garçon se mit la tête en arrière et profita de cette douce caresse. Il mourrait d'envie de palper ou d'embrasser mes seins mais semblait attendre pour cela son autorisation. A me voir branler cet inconnu, Philippe bandait de nouveau :
    
    - Et moi ?
    
    - Toi ? Tu viens d'en profiter, ...
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