Le gang des rangers se fait la mère
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... mâchouillait avec rudesse les mamelons de sa fille, Deborah se faisait labourer impitoyablement la chatte.
L'ado allongé sur elle la ramonait comme un étalon honore une jument, s'enfouissant si puissamment en elle qu'à chaque coup de boutoir il s'engouffrait jusqu'aux couilles dans son ventre tressautant de douleur.
Personne ne l'avait jamais baisée aussi brutalement que ces ados.
Un second ado glissa sa bite dans la paume de sa main droite, il lui inti-ma :
- "Branle moi la vieille!...."
Un autre lui mit sa mentule dans son autre main et ajouta
- "Branle moi aussi!...." et la pauvre femme sans défense se retrouva à branler simultanément deux épaisses mentules alors qu'une troisième lui labourait frénétiquement la chatte.
Enfin le gars allongé sur elle éjacula dans sa fentine, les deux autres qu'elle branlait firent de même lui aspergeant le visage et la poitrine d'un épais foutre bien gras.
Elle resta étendue sur le sol dans une sorte de stupeur, sa chatte brû-lante traversée de spasmes convulsifs.
- "Hey salope ... Viens ici ..." l'interpella soudain une voix dans son dos
- "Viens me sucer!.....".
Lentement, péniblement, elle se releva, et comme ses jambes étaient trop faibles pour la porter, elle se traîna sur les genoux jusqu'à la chaise où était assis le gars qui venait de l'apostropher.
- "Sors ma bite et grouille toi!...." "lui intima-t-il rudement.
Puis comme elle descendait sa fermeture éclaire et empoignait sa virilité, il ...
... poursuivit :
- "Et si l'idée te venait de me mordre la queue, je découperai les té-tons de ta fille!....."
Deborah emboucha la grosse bite, la plupart de leurs agresseurs étaient des noirs où des latinos, tous très bien montés, et entama des va et viens lascifs sur la hampe raidie.
Alors qu'elle s'exécutait servilement, un des ados se posta dans son dos et lui écarta douloureusement les fesses.
Elle grimaça, sachant ce qui allait lui arriver, sachant par ailleurs qu'elle ne pourrait se soustraire à cet acte dégradant.
Dans la chambre, Estelle était maintenant entièrement nue, il avait dé-chiré le reste de ses vêtements et Roland la baisait aussi férocement que l'avait été sa malheureuse mère.
Estelle gémissait, pleurnichait, mais n'esquissait aucun geste de révolte.
Elle restait étendue sur le dos subissant ses violents assauts qu'elle sa-vait ne pas pouvoir éviter.
Lorsqu'il se fut vidé en elle, il se releva et lui ordonna de se redresser.
Elle obéit et, sans rien dire, l'empoignant par les cheveux, il l'a ramena dans le salon.
La scène qui se présenta sous ses yeux la choqua encore plus que son propre viol. Sa mère à quatre pattes, sanglotante et tremblante comme une feuille suçait un des ados alors qu'un autre l'enculait sauvagement.
Lorsqu'ils eurent tous deux satisfaits leurs appétits, Roland les fit s'agenouiller cote à cote dans le centre de la pièce et tourna autour d'elle.
- "Hey la vieille ....." apostropha-t-il Deborah
- ...