1. Mon cou picote...


    Datte: 19/10/2018, Catégories: fh, fsoumise, hdomine, cérébral, sm, Auteur: Guts, Source: Revebebe

    Mon cou picote tellement je l’étire et le penche en arrière. Assise sur l’accoudoir du canapé de cuir, lui de noir vêtu est debout, au-dessus de moi, me transperçant de son regard sombre et conquérant. De frissonnantes lueurs au fond des prunelles me donnent la chair de poule. Je le fixe, figée sur sa bouche bien dessinée. Elle s’entrouvre sur des dents blanches acérées, se clôt fermement à en blanchir. Puis elle s’agrandit avec un sourire de puissance, mais surtout elle parle avec douceur, rondeur et… certitude ! Un sourire carnassier avec des dents de loup !
    
    — Alors ! s’esclaffe-t-il, en relevant une mèche brune sur son index.
    — Quoi ? Que voulez-vous ? Il n’y a pas cent cinquante solutions ! Première solution : tout oublier ! La deuxième : me balancer chez les flics !
    — Il y en a une troisième ! articule-t-il doucement, en enlevant précipitamment mes lunettes d’une main tandis que l’autre s’agrippe à mes cheveux roux, les tirant durement en arrière en bloquant ma tête.
    — Je n’ai pas d’argent ! répliquai-je avec un regard provocateur accompagné d’une étincelle vive et brillante dans les yeux.
    
    Des envies sexuelles gargouillent dans mon bas-ventre et une douce fébrilité m’envahit.
    
    — Ah, ah ! Je veux autre chose ! Et tout de suite ! murmure-t-il en frôlant mon visage.
    
    Sa bouche charnue et humide effleure la mienne plusieurs fois. J’essaye d’y échapper… en vain. La puissance de son "blocage" fait que je ne peux éviter ses "assauts". Il en profite. Son bout de ...
    ... langue chatouille mes lèvres cherchant un passage. Il me mord superficiellement et s’engouffre en force dans ma bouche. Sa main enserre plus fort ma chevelure. Impossible de bouger la tête d’un millimètre. Je suis complètement bloquée par cet homme… à sa merci physique. Mais suis-je vraiment à sa merci ?
    
    À mi-chemin entre le fauteuil et l’homme, en déséquilibre arrière, je fais mine de me débattre, mais sans résultat. L’homme me bascule sur le canapé et après une courte et excitante échauffourée, il s’écrase de tout son poids sur moi m’empêchant tous mouvements. Je me retrouve les poings liés par le foulard qui était à son cou. Je suis entièrement à sa merci.
    
    Ses mains flirtent, elles descendent, longeant mon visage et mon cou délicatement. Elles caressent maintenant mes seins à travers ma chemise de soie avec une telle possession, s’arrêtant sur mes tétons et les pinçant. Le gonflement de ma poitrine, ma respiration saccadée et mon souffle fort ne gênent en rien les actions de l’homme. Ils les redoublent, les alliant à mes sourds gémissements et à mes tentatives pour m’y soustraire ; étirant et pinçant plus fort, caressant plus durement, serrant mes deux masses de chair généreuses dans ses immenses mains aux longs doigts.
    
    — Non ! S’il vous plaîîîîît !
    
    Il enlève prestement les premiers boutons de mon corsage. Sa main ferme pénètre dans mon décolleté et s’abat sur mon sein, le pétrissant.
    
    — Non ? S’il vooooouuuus plaît ? Mais ouuuiiii ça me plaît à moi et pas qu’à ...
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