1. Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 6


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Itacoatiara, Source: Hds

    ... conditions.
    
    Je retirais le plug tout doucement, elle était affalée. Je me demandais si c'était nécessaire d'aller jusqu'au bout.
    
    Je mis un préservatif et du gel.
    
    Je me mis ensuite derrière elle, lui enleva le masque et lui dit, "regarde-moi dans les yeux", ce qu'elle fit.
    
    Je mis mon sexe sur son anus, et lui dit "c'est à toi de reculer!" Je voulais inconsciemment la dominer jusqu'au bout.
    
    Elle: "même pas peur!"
    
    Elle recula tout en me regardant fixement de ses yeux bleu cristal.
    
    Puis son visage se décomposa et son regard se perdit, bien que préparé depuis un moment, ce n'était pas pareil. J'étais plus large que nos jouets.
    
    Arrivée à une profondeur qu'elle estimait suffisante, elle s'arrêta. Puis commença à faire des aller-retour assez lents et peu profonds.
    
    Elle se caressait en même temps. Je continuais à la regarder, dominateur
    
    Visiblerment, le plaisir cérébral était fort, elle s'arrêta, ne savant plus trop ou elle en était.
    
    Je lui mis une claque sur la fesse; comme pour une jument qui ne voudrait plus avancer.
    
    Elle me répondit "baise-moi"
    
    Je repris donc le mouvement en essayant d'être plus doux que lorsque je la prends vaginalement. Assez rapidement, elle me demanda ...
    ... d'y aller un peu plus fort, j'étais trop doux...
    
    Moi: "tu es ma salope?"
    
    Elle : "oui"
    
    Je mis une claque sur la fesse
    
    Moi : "Je n’entends rien"
    
    Elle : OUUUUOIIOIII JE SUIS TA SALOPE"
    
    J'accélérais la cadence et la profondeur
    
    Elle se mit à hurler de plus en plus fort, je décidais de ralentir, de peur de lui faire mal
    
    Elle " T'arrête pas, c'est bon"
    
    Je repris le rythme, j'en profitais pour claquer et pour pincer ses fesses.
    
    Ses cris, mouvements de corps et supplication à ce que je la baise à fond finirent par me faire jouir.
    
    Elle eut un dernier orgasme après le mien, nous nous écroulâmes sur le sol.
    
    Pendant une dizaine de minutes, nos échanges furent inintelligibles, des espèces de râles de contentement.
    
    Je finit par me lever et la porta jusqu'à sa chambre ou je l'a mis dans son lit ou exceptionnellement, en contradiction avec notre "contrat", elle me demanda de rester pour dormir.
    
    Je ne savais que penser, nous avions depuis très longtemps dépassé les limites de l'amitié, reste qu'elle avait encore ce désir de faire son beau mariage. Bref, nuit blanche.
    
    Et pour elle, le lendemain, une drôle de démarche qu'elle expliqua à la cuisinière, comme le résultat d'une chute. 
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