1. Le hangar 1


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... Ali entra une seringue pleine d’un liquide transparent à la main. Annie se mit à hurler, le crise d’hystérie se déclenchait, elle tremblait de tout ses membres et se roulait par terre tétanisée. Des bras vigoureux la saisirent et la firent asseoir sur une chaise. Rapidement on lui immobilisa le bras, on lui fit un garrot et malgré ses hurlements de peur elle sentit l’aiguille qui s’enfonçait dans sa veine.
    
    C’est Boubacar qui la piquait, elle considéra avec horreur le sourire gentil et doux qu’il lui faisait tout en poussant le piston de la seringue, le poison s’insinuait en elle sans qu’elle put l’en empêcher.
    
    Presque aussitôt elle se détendit. Se fut aussi soudain que brutal, tout à coup elle se sentit comme une chiffe sur sa chaise, vacillante et prête à tomber. La conscience s’estompait peu à peu et les bruits ne lui parvenaient plus qu’à travers un long tuyau où l’écho lui faisait mal dans les oreilles.
    
    « C’est bon maintenant » dit une voix douce.
    
    « On l’allonge sur le lit » dit une autre voix quelle ne reconnu plus.
    
    « Qui commence ? » entendit elle comme en un rêve, il lui semblait qu’il était question de quelqu’un d’autre, mais pas d’elle.
    
    « Moi ! »
    
    On lui descendit la culotte et on écarta ses cuisses. Elle avait la parfaite sensation qu’on la touchait mais elle ne réagissait pas. On lui palpa le sexe sans douceur, des doigts la pénétrèrent durement, cela dura longtemps, on lui massait les seins aussi, un homme lui força l’anus de ses doigts. Tout ...
    ... cela se faisait dans un brouhaha étrange et lointain, peuplé d’écho et de rires obscènes.
    
    Elle était inerte, pas consentante mais inerte, on avait neutralisé sa volonté et malgré l’horreur qu’elle vivait, elle ne pouvait réagir, le corps neutralisé.
    
    Une masse s’abattit sur elle, elle ne sut ni qui ni quoi, rapidement on fouilla encore son sexe et elle sentit quelque chose la pénétrer. Une verge forte et large labourait ses chair sans ménagement. Elle eut conscience du viol, mais ne put émettre qu’un faible gémissement qui mourut sur se lèvres. L’homme s’agita et le temps lui parut interminable, puis elle sentit qu’il se vidait en elle et elle gémit encore en une plainte proche du sanglot. Elle n’eut pas le temps de réagir qu’une autre masse pesait sur son ventre. Cette fois le rythme fut rapide, les reins de son assaillant allaient et venaient à toute vitesse et il plongeait sa bite au fond de ses entrailles.
    
    « Hé Ali, on dirait que tu n’as pas baisé depuis des semaines ! » Elle entendit comme dans un songe les grasses remarques et les rires que proféraient ses assaillants. Il finit par jouir en proférant des insultes en arabe et en poussant son engin aussi loin qu’il le pouvait. Annie gémit faiblement, vaincue par la drogue.
    
    Une fois encore un corps s’abattit sur elle, cette fois elle poussa un cri tant il était lourd et pesant. L’homme l’étouffait sous lui. Elle chercha de l’air avec avidité mais ses poumons écrasés par la masse de graisse qui l’assaillait ne ...
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