1. Le hangar 1


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Sexe Interracial Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... coté et la poussèrent sans ménagement vers l’entrepôt qui dressait sa silhouette noire dans la nuit poisseuse. La grande porte coulissa en grinçant et ils entrèrent dans un endroit encore plus sombre. Toujours en la tenant, ils la poussèrent vers un escalier métallique qu’on distinguait à peine sur le coté du bâtiment. Les trois montèrent les marches, les deux hommes ne se privèrent pas de mettre la main au fesses de leur prisonnières pendant qu’elle montait devant eux. Ils gloussaient tout en faisant le caresses obscènes et Annie en fut transie de peur.
    
    En haut des marches, il y avait une sorte de coursive qui conduisait à une pièce qui avait du être jadis le bureau des contremaîtres. Ali ouvrit la porte et son compagnon poussa Annie à l’intérieur. Ils refermèrent la porte et allumèrent une lumière chiche et jaunâtre qui éclaira le mobilier minimum de la pièce. Une table des chaises et dans un coin une paillasse avachie, sans doute pour un veilleur de nuit éventuel.
    
    « T’as pas de pot » commença le dénommé Marco.
    
    « Non » ricana son compère, « t’as pas de pot ! on va pas pouvoir te garder jolie madame, tu sais trop de chose maintenant ! »
    
    Il sortit un couteau de sa poche et Annie se sentit défaillir à la vue de la lame qui brillait dans la faible lueur de l’ampoule sale.
    
    « Attends » lui intima Marco « on va un peu s’amuser avant non ? »
    
    Nouveau ricanement du copain.
    
    « Elle est pas mal cette gonzesse, regarde ! » et en s’avançant vers Annie il ouvrit ...
    ... brutalement son chemisier en faisant sauter tous les boutons à la fois. Bizarrement, Annie n’entendit que le bruit des boutons roulant sur le sol et eut cette pensée absurde « Un chemisier de foutu ! »
    
    « Regarde Ali, c’est de la bourgeoise pur sucre ça ! t’as vu le soustif ? » Joignant le geste à la parole, Marco caressa sa poitrine.
    
    Annie ne bougeait plus paralysée de peur. L’homme palpait son soutien gorge de ses mains douteuses.
    
    « Et bien rempli avec ça ! allez vient Ali soit pas timide ! touche les nichons de la dame. »
    
    Ali s’approcha en ricanant et palpa à son tour les seins d’Annie. Il cherchait ses tétons et quand il en eut trouvé un il le pinça durement, tirant un gémissement à sa prisonnière.
    
    Marco rit à son tour, et chercha lui aussi un téton pour le pincer. Les deux hommes s’excitaient mutuellement et finirent par abaisser les bonnets du soutien gorge pour pincer les bouts de seins de leur prisonnière qui criait de douleur.
    
    « Tu peux crier autant que tu veux » lui dit Marco en lui parlant au ras de son visage. Saisissant la tête d’Annie il plaqua sa bouche contre la sienne, forçant ses lèvres avec sa langue qu’il introduisit sans ménagement dans sa bouche. Annie sentit sa bouche s’ouvrir sans qu’elle n’y put s’en défendre, elle avait trop peur. Elle tourna la tête cependant et la bouche de Marco glissa sur son cou, mordillant son épaule. Elle frissonna malgré l’horreur qui la saisissait, c’était une caresse qui la faisait toujours réagir quand Alain ...
«1234...9»