1. Les débuts d'une grande aventure (2)


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Gay Auteur: mrcobb, Source: Xstory

    ... lui sauter dessus et seule ma raison m’en empêche.
    
    — Je suis flatté à mon tour, vraiment, et je ne sais pas quoi te dire..... Je ne suis pas gay tu sais, et j’ai une femme. Je voulais pas te donner d’espoir...
    
    Mon cœur ne fait alors qu’un tour, cependant, une autre partie de mon corps ne semble pas prendre en compte cette "révélation" et mon membre est toujours fièrement dressé au point de se retrouver à l’étroit dans mon pantalon et je sais très bien que vu mon état, ce n’est pas mon cœur qui va me faire parler.
    
    — Il n’y a pas de soucis, vous inquiétez pas, mais, puis-je vous poser une question avant de partir ?
    
    — Je t’écoute, que puis-je faire pour toi ?
    
    — Hier quand j’ai fermé la porte, vous pensiez à quoi en vous branlant ?
    
    — Comment ? Tu le sais que je me branlais ?
    
    — Je vous écoutais derrière la porte......
    
    — Je pensais à notre discussion et à ton comportement qu’on a eu à l’entretien.
    
    — Je m’en doutais bien que vous n’aviez pas oublié.
    
    — Tu as fait exprès ce jour-là n’est-ce pas ?
    
    Je gagnais du terrain, il me reposait des questions sur un moment qui l’avait excité. Il aime cela et aime que je lui parle de sexe. Après tout, vu où j’en suis, soit après ce point je suis viré, soit il est très compréhensif.
    
    — Oui, j’avais fait exprès de vous aguicher et je voyais bien que vous étiez de plus en plus excités. Je dois dire que j’ai pas arrêté de penser ...
    ... au plaisir que ça doit être de vous voir nu et surtout de m’occuper de votre belle et grosse queue.....
    
    Un silence se fit alors dans ce bureau où une conversation qu’un employé ne devrait jamais avoir avec son manager vient d’arriver. Je demandai donc si j’aurai des problèmes suite à cela. Il m’a bien répondu que non; qu’il n’y avait pas de soucis; tant que j’étais productif, c’est tout ce qui lui importait.
    
    En quittant la salle, je me retournai alors en lui demandant si je devais fermer la porte.
    
    — Pourquoi voulez-vous la fermer ?
    
    — Car vu, une nouvelle fois, comment votre bite est à l’étroit, je pense que vous feriez mieux de vous en occuper au calme.
    
    Un sourire gêné apparut alors sur son visage et me confirma que je pouvais fermer la porte.
    
    Le reste de la journée s’est passée comme d’habitude et aucune répercussion de cette réunion n’arriva. Je rentrai donc chez moi le cœur bien plus léger que la veille, mais toujours aussi excité par mon nouveau boulot. Aux alentours de 22h, alors que je finissais de regarder un film plutôt ennuyant, mon téléphone vibra. C’était Pierre qui venait de m’envoyer un message :
    
    — Bonsoir, Marc, il faut que nous parlions, je programme un point à 12h dans mon bureau demain. Bonne soirée à toi.
    
    Je m’endormis alors en me demandant ce qu’il pouvait bien avoir à rajouter, mais plus le temps passait et plus mon désir montait : je veux qu’il me ...