1. "Dure" journée


    Datte: 17/10/2018, Catégories: fh, bain, volupté, tutu, Auteur: Pleine--lune, Source: Revebebe

    ... contre toi je plonge dans ton regard amoureux et je me sens si femme et si bien à tes côtés… je regarde encore une fois ta bouche qui m’attire et j’approche doucement mes lèvres. J’effleure tes lèvres et je vois un discret sourire se former sur ta bouche… tu es bien, tu es heureux, je t’aime… j’adore ce contact pudique de nos lèvres douces et sèches qui se désirent, qui se languissent… tu en veux plus et tout de suite, je me retire un peu, tu as compris que je te ferai languir, que je te ferai attendre jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et que tu me supplies… j’aime te voir ainsi. Ferme tes yeux bel Amour et envole-toi au pays des délices… je m’occupe de toi.
    
    Du bout des doigts, je caresse ton visage où il reste bien quelques tensions… soucis de la journée non encore estompés… frisson d’anxiété devant ce qui t’attend… bientôt je sens tes traits se détendre et sous mes doigts qui effleurent tes paupières, qui contournent ton front, qui soulignent la courbe de tes lèvres, un doux nuage d’insouciance prend forme. Je dépose baiser après baiser sur tes paupières, tes joues, à la naissance de ton cou, où j’aime tant moi-même être embrassée (prend des notes) et je sens tout ton être apprécier ce qu’il reçoit, sans un mouvement, sans un son… juste ta présence ardente. Je descends tout le long de ta poitrine, mon visage se frottant contre ta peau, écoutant ton cœur battre, ta respiration faire un avec l’univers. J’enfouis mon nez à ton aisselle… ton odeur me rend folle au risque ...
    ... de me répéter…
    
    Ma main découvre ton sexe dur à mourir, et le saisit avec tout l’Amour qu’elle lui porte. Mes doigts se referment sur lui, l’entourent, se moulent à ses contours. Ma main glisse et glisse encore et je te sens partir, partir sur un tapis d’argent, volant au rythme de ta respiration saccadée, complètement abandonné… mon autre main furtive caresse tes doux bijoux qui se gonflent à se fendre, qui se tendent vers le ciel pour participer à l’amour. Ma main coquine laisse échapper un doigt vers l’arrière, aux confins de ton intimité, à ta grande surprise. Et à ma surprise, tu consens, aucunement menacé dans ta virilité. Ton sexe est si dur que j’ai peur qu’il n’explose avant même que je n’y aie goûté. Je lâche donc mon emprise et pendant quelques secondes, avant d’y poser mes lèvres, j’admire ce mât tendu vers l’infini du plaisir. Tu as deviné mon intention et gémis doucement dans l’attente… mais mes lèvres ont aussi envie de tes lèvres et à ta surprise j’y dépose un baiser chaud. Ta bouche a vite compris et s’ouvre à ma langue qui te goûte, te lèche, te pénètre, te mouille. Ta salive goûte le miel et je m’en délecte. Ta langue se joint vite à la mienne et nos deux bouches ne font qu’une dans un baiser sans fin.
    
    Ton sexe se languit et j’y retourne avec bonheur. Il est tendu comme un mât de navire prêt à mettre la voile pour le large. Je le saisis à sa base et le lèche de bas en haut, d’abord tout doucement, puis un peu plus ardemment. Je le sens qui bât contre ma ...