1. Carolina et moi....


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Le Matou libertin, Source: Hds

    ... broussailleux de son ventre et ses lèvres vaginales qui s’écrasaient sur mon pubis…
    
    Carolina me chevauchait, ne me laissant que peu d’initiative sauf celle de pincer et faire saillir encore plus les tétons…
    
    Waouh…. Quelle poitrine, souple et ferme à la fois… chaude et mouvante… et Carolina continuait sa danse lubrique, cherchant à faire entrer mon sexe au plus profond du sien…
    
    Cela ressemblait plus à une cavalcade…
    
    Et il ne fallait pas lui en promettre… Je n’avais jamais eu une copine qui fasse l’amour avec autant d’intensité… c’est vrai aussi que c’était le plus souvent des « coups d’un soir »… des filles levées dans une boîte ou un dancing et qui acceptaient sans beaucoup de dénégations de me suivre dans ma voiture ou chez moi…
    
    Si Carolina cherchait son plaisir, le mien montait dans mes reins et bientôt, je ne pourrais plus me retenir de lâcher au fond de son vagin quelques salves de sperme…
    
    Ce qui ne manqua pas d’arriver provoquant instantanément la jouissance de Carolina qui s’affala sur mon buste pour chuchoter à mon oreille :
    
    • MERCI… C’était bon… On va continuer si tu veux !
    
    • ---.---.---.
    
    • Tu n’as plus envie de moi ? On n’aurait pas dit çà il y a dix minutes…
    
    • SI… j’ai encore envie de te baiser… T’es si bonne !
    
    • Alors, je ne vais pas me priver ! Marre des godes… une vraie queue, c’est bien meilleur !
    
    Moins de cinq minutes plus tard, Carolina prenait la position de la levrette au milieu du lit et m’invitait « à la saillir comme ...
    ... une salope ».
    
    Sa peau mate faisait un contraste très érotique avec son serre taille blanc et ses bas à jarretelles qu’elle avait conservés…
    
    Il n’a fallait pas plus pour remettre ma libido en route d’autant qu’elle ouvrait ses fesses avec ses mains…
    
    Je voyais ses deux orifices palpiter, impatients… attendant la saillie.
    
    J’ai saisi les hanches généreuses de Carolina entre mes mains et je me suis introduit lentement dans son vagin… Je voulais qu’elle sente bien ma pénétration qui s’est faite sans problème, nos fluides de l’étreinte précédente facilitant les choses…
    
    Après quelques minutes, j’ai commencé ma copulation, allant et venant lentement dans le sexe de ma belle-mère, la pénétrant au plus profond, sentant mon gland buter contre sa matrice…
    
    A chaque fois elle poussait un petit cri suivi d’un soupir…
    
    Parfois elle me disait d’aller plus vite mais moi, ce que je voulais, c’est profiter le plus possible de cette belle italienne aux formes juste un peu généreuses…
    
    Quand elle m’a fait basculer de manière à ce que je voie sa tête et sa poitrine bouger sus les coups de boutoir de plus en plus rapides que j’infligeais à sa chatte, j’ai vu son visage rayonnant du plaisir qu’elle ressentait.
    
    Je me retenais de jouir car je voulais qu’elle jouisse… qu’elle se donne à fond.
    
    Cela ne tarda pas d’ailleurs mais elle me désarçonna et en se couchant sur le dos, elle m’invita à jouir entre ses seins…
    
    Je me suis approché et j’ai glissé ma bite dans le fourreau ...