Le voisin est un pur-sang (9)
Datte: 17/10/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
Je faillis éclater de rire en le voyant se baisser précipitamment pour remonter son calbut, sans y arriver.
- Laisse ta queue à l’air. Je l’ai déjà vue... et puis si tu t’enrhumes, je connais un bon médecin.
- S’il vous plait docteur, vous direz rien à votre femme !
- Et à ta mère, et à ta copine, je leur en parle ?
- Oh non non non non non !
- Quant à ma femme, tu vas lui expliquer toi même.
- Hein ? Oh non, s’il vous plait, je vais avoir trop honte.
- De quoi ? Qu’elle te fasse bander. Tu vois qu’elle en excite d’autres. Mais dis-moi, tu attendais qui ?
- Personne.
- Ah, te fous pas de ma gueule. Tu m’as confondu avec quelqu’un; qui ?
- Euh...
- De toute façon on va l’attendre, alors...
- Ben, mon oncle.
- Ton oncle, lequel ?
- Raymond, le maçon...
- Il t’a donné rendez-vous ?
- Non c’est moi.
- Qu’est-ce que tu foutais là ?
- Ben, j’lai un peu aider pour le chantier de Germain... Un soir, après le boulot, j’suis revenu parce que j’avais oublié mon portable... En arrivant, j’ai vu Germain... il allait chez vous... mais comme j’ai mis du temps, en repassant devant chez vous, j’ai entendu vot’ dame crier... comme dans les films de cul... pas de mal... au contraire... J’peux bien vous le dire puisque vous êtes au courant. Alors des fois, je suis repassé en douce et j’ai vu leur manège. J’en ai parlé à mon tonton mais il m’a dit que c’étaient des conneries. Mais Samedi soir, je suis revenu et j’ai vu les deux personnes ...
... toutes nues chez Germain. Après je l’ai vu aussi se mettre à poil... j’suis parti et ce soir, je les observe depuis un moment, même avant que votre femme n’arrive, alors j’ai dit à l’oncle de venir voir.
- Bon, viens avec moi.
- Où ?
- A l’intérieur... tu veux voir de plus près ?
- Non docteur, j’ai trop honte et puis si mon oncle me voit...
- T’inquiète.
Je tirai donc notre jeune curieux vers l’intérieur plus qu’il ne me suivit.
- Regardez qui j’ai trouvé !
- Et mais c’est le petit Christian !
- Il vous matait sans vergogne.
Germain s’était arrêté de pilonner le cul de Roselyne qui, libérée ,s’en fut vers notre nouvel ami.
- Il est bien foutu mais il a l’air bien jeune. Il est majeur ? Demanda-t-elle.
- Et vacciné, je m’en porte garant.
Elle s’approcha de lui et lui baissa le froc qu’il avait remonté mais que je ne lui avais pas laissé le temps de reboutonner. Elle lui palpa la tige aussitôt.
- Mouais... modeste mais dure... et mouillée au bout on dirait. Ça fera l’affaire !
Et en un clin d’œil, il fut à poil la bite bien fourrée dans la bouche de la dame.
J’enfilai son manteau pour me faire passer pour lui, retournai dehors, mis la capuche et attendit l’oncle, un solide gaillard de ma connaissance également.
Il mit longtemps à arriver, presque un quart d’heure... qui ne fut pas perdu pour tout le monde. Le gamin était désormais allongé; Roselyne chevauchait sa bite alors que ma femme s’était mise à califourchon au dessus de sa ...