On commence à 3, on finit à 3.. [Partie 1]
Datte: 17/10/2018,
Catégories:
Première fois
Sexe Interracial
Auteur: Uneindienneaparis, Source: xHamster
En cet agreable samedi soir de printemps, j'ai prévu de sortir en boîte avec mes deux cousines: Deva et Sangita.
C'est sur les conseils avisés de Deva que nous jetons notre dévolu sur une petite boîte du 15eme arrondissement de Paris.
Pour ma part, c'est la première fois que je vais en boîte, j'appréhende un peu, mais la présence de mes cousines, qui sont plus expérimentées que moi dans le domaine, efface toute once d'anxiété.
Perchée dans ma chambre, je fouille ma garde robe pour trouver une tenue pour l'occasion.
Après plusieurs essayages, je retiens un chemisier rouge dont j'ai retroussé les manches, dominé par un gilet noir type barman et pour le bas, un pantalon moulant en simili cuir noir.
Je ne veux pas que ce soit trop affriolant, mais pas ringard non plus, je ne voudrais pas qu'on se voit refuser l'entrée dans le club à cause de ma tenue vestimentaire.
Je me maquille ensuite très sobrement et finis par me lisser les cheveux. Me voilà finalement apprêtée.
Au même moment, la sonnerie de mon téléphone portable résonne dans ma chambre. C'est Deva qui m'informe qu'elle est devant chez moi avec Sangita et qu'elles m'attendent.
J'att**** rapidement mon sac à main, en vérifie le contenu, descends et m'extrait du pavillon familial.
Les filles sont garées juste devant la maison, la musique à fond couvrant à peine leurs éclats de rire. La soirée s'annonce prometteuse. Je penetre la Suzuki Swift noire et m'installe à l'arrière.
Dans la ...
... voiture, filant vers les portes de Paris, l'ambiance est joviale, de quoi oublier toute l'appréhension de cette première.
Après 1h de route, nous arrivons enfin à destination. Nous trouvons une place à proximité de la boîte, et et faisons claquer nos talons dans les rues animées jusqu'au club. Il y a un peu de queue.
J'observe les gens dans la file, certains sont déjà bien éméchés, d'autres semblent n'avoir même pas l'âge légal pour accéder à la soirée. L'attente n'est pas longue, le videur est expéditif, c'est oui ou non. Et pour nous, c'est oui. C'est soulagée que j'emboite le pas à mes cousines et passe à côté du gigantesque homme noir pour m'engouffrer dans le sas d'entrée.
Il fait sombre et les basses de la musique font trembler le verre d'eau posé sur le comptoir de la femme encaissant l'argent et s'occupant du vestiaire.
Après avoir réglé nos entrées et reçu nos tickets pour des consommations gratuites, nous poussons enfin les lourdes portes accédant à la soirée.
Ma première impression ? L'atmosphère est lourde, il fait chaud, très chaud, et moite. Les odeurs d'alcool, de transpiration, de cigarettes s'entremêlent.
Les jeux de lumières semblent découper nos mouvements, la salle est en ébullition.
La puissance des décibels rend toute conversation beaucoup plus compliqué et c'est avec des signes que Deva me fais comprendre qu'elle veut commander à boire.
La boîte pleine, nous nous tenons par la main et nous frayons difficilement un chemin jusqu'au ...