Florilège (corrigé avant publication)
Datte: 17/10/2018,
Catégories:
nonéro,
Humour
perles,
revebebe,
Auteur: Schtroumpf en vacances, Source: Revebebe
Dans les petits extraits qui vont suivre, il ne sera presque pas question de ces fautes d’orthographe qui n’amusent généralement personne, mais de diverses maladresses qui, je l’avoue, m’ont parfois fait rire aux larmes.
La plupart ont été corrigées avant publication, mais pas toutes, hein !
« Plusieurs voitures passent en trombe à quelques mètres de nous sans nous voir »
Les bagnoles ont la vue basse. Tellement basse que parfois, elles ne voient même pas le feu rouge ou le panneau de limitation de vitesse !
« Un bled pommé s’il y en a un et il me reste encore 25 km à parcourir »
Espérons qu’il se les tape pas pour des prunes.
« Elle croise alors la Clio de Marie mais n’a pas le temps d’attirer son attention. »
Puisqu’on vous dit que les bagnoles ont la vue basse !
« … au coin d’un virage… »
Pas seulement les bagnoles, d’ailleurs !
« En arrivant au bord de l’eau, nous n’étions pas seuls ; un camion de pompiers était stationné là, prêt à intervenir en cas de feu à proximité. »
Les camions, par contre, on peut compter sur eux !
« ma bouche se pose immédiatement sur l’étoffe de tissu »
C’est vrai qu’à défaut d’avoir l’étoffe du héros, l’étoffe de tissu, ce n’est pas si mal.
« Elle ôte sa veste visiblement soulagée. »
Un pickpocket venait de lui faire les poches.
« Elle baissa mon pantalon prit mon pied dans sa main puis l’autre afin de l’enlever. »
Skrouiiik, skrouiiik, skrouiiik…
« Ma main glisse sous sa nuisette et tombe ...
... dans sa toison soyeuse. »
— Oups ! Excusez-moi.
— Voilà, je vous la rends.
— Merci.
« Et là, dans la foule qui nous entourait, ma main montait entre ses cuisses qui n’avait bien entendu pas mis de culotte sous sa jupe. »
C’est pourtant clair !
« … il y avait un petit dauphin tatoué sur son aine a l’endroit de l’appendicite… »
C’est une bonne manière de recycler une cicatrice.
« Je décide alors de repasser ma main sous sa jupe »
Un homme qui repasse, c’est rare !
« J’arrivai vers son sexe. Regardant mon ami qui avait une figure heureuse, j’y déposai quelques baisers. »
— J’aimerais autant que tu me suces, Germaine !
« Je perçois ses yeux dans la peine ombre. »
Incroyable, non ?
« je m’installai donc sur la terrasse en bois légèrement surélevée avec mon ordinateur »
C’est bien la seule chose à laquelle peut encore servir ce foutu portable totalement vérolé.
« Nous sommes la veille de mon anniversaire, j’ai préparé une grande soirée dans le gîte d’un ami, une soirée qui s’annonce arrosée et longue, étant donné qu’on a prévu de dormir tous ensembles dans une immense chambre qui compte une trentaine de lits. »
Un dortoir, quoi !
« Nous avons décidé d’explorer les lieux, d’abord la piscine située au beau milieu du camping, il y avait là une vingtaine de gens nus qui soit se faisait bronzer par le soleil de midi, soit se baignait dans le plus simple appareil. »
Dans l’eau, c’est bien aussi.
« Une grande piste de danse accueillait ...