1. LISA


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Lesbienne Auteur: marika842010, Source: xHamster

    ... déjà, brisant ses habitudes et enfourcha le membre sans autre préliminaire…
    
    Il ne s’offusqua pas, l’accompagna avec fougue, lui aussi avait du temps à ratt****r, elle le sut plus tard…
    
    Ils firent l’amour, le vrai, le tendre, celui qu’elle attendait depuis son arrivée…
    
    Elle aima sa patience, et attendit son heure, il caressa cette belle maîtresse, dans tous les sens du terme…
    
    Son membre était bien vert, elle se laissa pourfendre, puis s’offrit en levrette, elle adorait cette pose, qui la faisait crier, délirer son plaisir, la tête dans ses bras, il y allait, ne retenant pas ses coups de reins rageurs, il se libérait, sans doute par désir…
    
    Elle jouit pleinement, sans retenue, il la porta aux nues.
    
    Elle livra le combat, passant par tous les stades, puis lui proposa son derrière, qu’ils puissent goûter à tout…
    
    Il le fit avec tact, doucement, il était sur un nuage, et elle vociféra sous ses coups de boutoir…
    
    - Viens, j’aime la sodomie, j’avais tant envie de sexe ! Mais je le veux dans le mien, pour cette première fois, je veux sentir ta semence au plus profond de moi…
    
    Il s’allongea dans son dos, elle se recroquevilla dans la position du fœtus…
    
    Il aperçut son abricot, mis en valeur ainsi, une œuvre d’art, luisant, brillant, ouvert…
    
    On ne voyait que lui, dans une impudeur notoire, un appel au mâle…
    
    Il y plongea son dard, émerveillé, comme un artiste, elle délira son orgasme, il la lutina sans arrêt, jusqu’à ressentir poindre ce besoin ...
    ... irrésistible…
    
    - Oui, viens, prends-moi, maintenant ! Donne-moi ta tendresse, jouis de moi tendrement… Ce soir je suis à toi, je deviens ta maîtresse, je viens aussi, je m’envole avec toi, viens !
    
    Elle le sentit grossir, elle le serra en elle, contractant ses muscles, comme pour le retenir… Alors il explosa, tapissant son vagin de sperme, la remplissant avec sa soif de bien faire…
    
    Elle le garda longtemps, en refusant qu’il sorte…
    
    Ils s’endormirent ensemble, complices dans la nuit…
    
    Elle se souvint longtemps de ces quelques heures, de ce flirt délicieux et ce baiser de feu, suivi par ces silences, où seule sa respiration venait troubler la nuit…
    
    Sentir couler la vie, fut comme un délice, elle se souvint alors de son ancien amant…
    
    Celui-ci était bien plus tendre ou plus doué ; comme il était marié, il avait l’expérience, il honorait la femme, partageant ses extases, et jusqu’à la dernière goutte, l’avait accompagnée…
    
    Parfois, elle trouvait un mot, glissé dans sa boîte aux lettres « Libre ce week-end, tu me manques, je pleure ton absence »
    
    Elle inscrivait sur sa boîte : « s 19 / 20 »
    
    Cela voulait juste dire samedi 19 dès 20 heures…
    
    Il était toujours exact, 20 heures tapantes, et ils faisaient l’amour, sans attendre, dans la petite chambre, volets entrebâillés, ils se dévoraient l’un l’autre, de baisers en baisers, puis le sexe arrivait, quand elle était trempée, et il se délectait de ses humeurs de femme, léchant à qui-mieux-mieux sa vulve sevrée, parfois ...
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