Des cours de piano un peu particuliers (1)
Datte: 07/02/2018,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: bdsmvar, Source: Xstory
... c’est très impoli d’arriver en avance sans prévenir, tu penses que je suis à ta disposition
— Dans un éclat de rire Carole lui répond, Ben oui la vieille, t’as trois pauvres clampins à tes cours, et t’es toute seule toute la journée alors n’essaye pas de faire genre !
— Sophie qui avait désormais le visage fermé, Je n’ai même pas envie de te répondre, assieds-toi qu’on ’y mette
— Ben voilà tu vois quand tu veux.
Carole commençait à jouer le morceau qui avait été travaillé la semaine précédente. Il était évident à la vue de sa prestation qu’elle n’avait pas joué une seule fois chez elle pour s’entraîner. Malgré toute la mauvaise volonté mise, Sophie était obligée d’admettre ; intérieurement, qu’elle était plutôt douée.
Des fautes arrivaient quand même de temps à autre. Carole paraissait particulièrement excitée et énervée. Ce qui n’était pas dû uniquement au piano, c’était assez facile à remarquer. Après plusieurs essais infructueux de réaliser le morceau sans fautes, Sophie dû intervenir.
Sophie s’abaissait alors à côté d’elle pour lui montrer l’accord sur lequel elle butait.
— Dis donc mégère tu ne veux pas poser tes pies de vaches ailleurs que sur ton épaule !
Sophie voulant se reculer tomba sur les fesses en arrière, sous le coup du choc. Certes elle était vulgaire mais jusqu’à présent jamais elle n’avait insulté Sophie.
« C’est bien en tout cas t’as pas du te faire mal avec ton gros cul ! Sérieusement j’en peux plus de toi, et toutes les ...
... grognasses dans ton genre. Des vieilles bourgeoises qui se sont fait engrosser par des mecs qui se croient supérieurs. Vous cultivez l’image de la pauvre conne soumise qui fait le ménage et s’occupe des gosses. Tu sais quoi ça me dégoûte. En plus je suis sûr que ton gros cul ça fait des années qu’il pas était visitée, tu dois tellement être une mal-baisée, putain j’en suis sûr !
— Sophie tenta alors d’intervenir, maintenant ça suffit Carole
— Directement interrompue par une gifle sur sa joue gauche. Ferme ta putain de gueule, je ne t’ai rien demandé. Tu sais très bien que tout ce que je dis c’est juste la putain de vérité, mais t’es trop conne pour l’admettre. Et tes putains de gros seins pleins de graisses, je suis sûr que la dernière personne qui y a goûté c’est ton fils ! Je suis sûr que ton mari il va se taper des putes je ne sais pas où pendant que toi grosse conne de bobonne tu t’occupes de tout aussi.
Sophie restait silencieuse, des larmes coulaient de ses yeux dans un mélange de colère, frustration et dépit.
« Regarde-toi par terre, comme une abrutie. De toute façon je n’ai jamais pu saquer ta sale gueule, tes manières de pute bourgeoise, tu m’as toujours foutu la haine. Avec ta dégaine tu devrais faire un tour dans une cité pour te faire défoncer dans une cave, ça te remettrait les pieds sur terre sale conne.
Une autre gifle venait de frapper la même joue que précédemment.
Carole tournait en rond, dans un état de colère, limite de rage que Sophie n’avait ...