1. Le bal des cocus


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    C'est ainsi que la jalousie qui me tiraillait les tripes au début de notre mariage a évolué peu à peu vers la perversité.
    
    Je me vengeais, en tout cas j'en avais le sentiment. Je voulais que cette femme qui avait trahi mes attentes devienne l'esclave de ses propres dérives sexuelles. Mieux encore, j'avais l'intention de la guider sur le chemin de la perversité jusqu'à la déchéance totale. Bien sur, je ne m'avouais pas ce but du jour au lendemain, je restais fasciné de constater de quoi elle était capable, j'en avais eu un échantillon en la suivant ce fameux Dimanche chez Gille, j'en avais été profondément marqué, je me masturbais quotidiennement en me remémorant ce que j'avais vu chez son amant, comment elle s'était faite prendre, avec le plus grand naturel, par des hommes qui lui étaient inconnus ou quasi inconnus. J'avais admiré sa maîtrise, son sang froid, en un mot son professionnalisme, car Michelle était désormais une professionnelle du sexe. Certes, elle ne pratiquait pas tous les jours, elle faisait ça occasionnellement et discrètement dans le huis clos d'un appartement bourgeois parisien, se rendant deux fois par semaine chez Gille où elle rencontrait des hommes à qui elle prodiguait ses biens faits. J'ai eu l'occasion de dire combien elle savait sucer un sexe, avec quelle douceur elle le prenait en bouche et le caressait de sa langue, je comprends que des hommes qui avaient goûté ce genre de libéralité y reviennent et payent pour ses prestations. Je savais ...
    ... aussi la douceur de son sexe poilu et brun, qu'elle laissait proliférer l'hiver, je l'avais connue étroite au début de nos relations, toujours humide cependant, mais je pus me rendre compte assez vite que le passage répété de sexes bien plus forts que le mien et peut être aussi la pluralité avait amené des changements dans son anatomie. Peu à peu je constatais que ses grandes lèvres n'étaient plus aussi closes au repos, le renflement de sa fente se faisait plus accentué. Son vagin me semblait plus lâche quand j'y insérais mon sexe. Je ne suis pas un homme excessivement bien monté, tout juste dans la moyenne, mais au bout de six mois je pus constater les transformations anatomiques de Michelle, j'allais et je venais en elle sans que je sente réellement les parois vaginales qu'elle avait du mal maintenant à contracter autour de ma bite. Son anus était plus accessible, j'y entrais facilement presque sans forcer, elle acceptait cela sans un cri sans une plainte et je me disais que Gille avait transformé son corps, le modelant à sa guise, à la taille de son membre plus gros que le mien, ma femme était à sa pointure, mais non plus à la mienne.
    
    Elle rapportait des sommes rondelettes dont elle me faisait profiter un peu, mais le plus gros de ses gains partaient en toilette, en lingerie fine qu'elle ramenait de boutiques réputées. Quand elle revenait, elle me montrait fièrement, comme des trophées ses culottes de dentelle, ses soutiens gorges assortis ou ses porte-jarretelles qui ...
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