1. Jumeaux (3)


    Datte: 07/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Dr. Night, Source: Xstory

    ... me sourit-elle.
    
    À peine avons-nous eu le temps de faire quelques pas qu’on entendit crier derrière nous :
    
    — Attendez-nous !
    
    On se résigna à attendre et à faire la route avec nos amis. Sur le chemin, je ralentissais délibérément et entraînais Julie avec moi à l’arrière du groupe pour m’amuser à lui pincer les fesses pendant que les autres discutaient tranquillement.
    
    — Ce soir on fait un truc ? Demanda Robin une fois arrivait devant notre maison.
    
    — Moi je suis crevé, j’ai pas envie de bouger – Moi non plus, en plus j’ai mal dormi cette nuit alors ce soir à 20 heures j’suis dans mon lit, répliqua-t-on, Julie et moi.
    
    — Bon bah restez chez vous les vieux.
    
    — On fera un truc demain si tu veux, tentai-je de le réconforter.
    
    — Ouais on verra, partit-il un peu déçu suivit des deux autres.
    
    La porte refermée derrière nous, je balançai mon sac le plus loin possible alors que Julie me sauta dessus, enroulant ses jambes autour de ma taille.
    
    — T’as pas oublié ta promesse ?
    
    — Oh que non.
    
    On se roula une pelle tout en avançant vers le salon où je l’assis sur le dossier d’un des fauteuils et où je lui retirai son pull pour rester figé devant son soutien-gorge.
    
    — Tu vas y arriver ? Rigola-t-elle, faisant allusion à mon inexplicable difficulté à dégrafer ces foutus bouts de tissu.
    
    Voyant que je n’essaierai même pas, elle le fit elle-même, me le jeta à la figure et me déshabilla à son tour. Je la poussai en arrière pour la faire basculer dans le fauteuil, ...
    ... jambes en l’air, et lui retirer son pantalon et sa culotte. Puis en attrapant ses bras je la ramenai vers moi et la portai de nouveau.
    
    — Où voulez-vous vous faire prendre ma chère ?
    
    — La table !
    
    Je la déposai sur le bord de la grande de table - qui accueillait le repas de famille à l’époque. - plaçai ses jambes sur mes épaules et baissai mon pantalon qui me tomba aux chevilles. Après avoir titillé ses lèvres, j’attrapai ses cuisses et la pénétrai de tout mon long d’un seul coup. J’y allais fort et brute pour compenser la frustration accumulée pendant cette interminable journée ; je caressai ses seins puis ralentis mes coups pour me pencher sur elle et entrer ma langue dans sa bouche ouverte – je crus entendre un bruit ! Rien d’important sans doute – avant de me redresser, de récupérer ses jambes et de reprendre la cadence. Un de mes coups, trop enthousiaste, fit glisser Julie qui heurta le vase sur la table avec son bras, qui tomba et éclata sur le sol.
    
    Je stoppai net tout en restant en elle.
    
    — C’était un vase ancien je crois. Si les parents l’apprennent on est mort ! Dis-je à Julie qui se redressa pour regarder avec moi le spectacle du vase brisé.
    
    En relevant la tête, je vis dans l’encadrement d’une des entrées de la salle à manger, Camille qui se tenait debout et nous fixait, pâle comme la mort. Je ne pus dire un mot ou faire un geste je ne pouvais que la fixer stupéfait. Ses yeux passaient de ma sœur à moi et de moi à ma sœur, sa bouche était ouverte et ...