1. La vie dissolue d'une bigote 3 :Geneviève découvre la sodomie


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... ! Oui, j'ai envie de vous sucer ! Oui, je n’en peux plus d’attendre ! Venez ! Prenez-moi ! Je suis trempée ! Faites-moi encore jouir mon chéri !»
    
    Je lui fais déplacer malgré tout la voiture dans un coin encore plus retiré et discret de cette aire d’autoroute. Je descends de la voiture, et entraîne Geneviève à l’avant. Accroupi devant elle, je retire sa culotte déjà bien humide, puis la basculant de dos sur le capot de la voiture, je baisse pantalon et slip et lui relève les jambes. Geneviève glisse sur ma bite pour s’emmancher toute seule. Son vagin est trempé et brûlant. En quelques secondes elle se pâme une première fois, heureusement sans crier. Je la retourne sur l’aile et la reprend par derrière tournée face au parking d’où quelqu’un peut arriver à tout moment. Elle ne tarde pas à remonter dans la gamme et je jouis avec elle. Après cet intermède, ma foi, fort agréable, nous reprenons la route tranquillement, la seule différence, est que je n’ai pas rendu sa culotte à ma future belle-mère.
    
    A notre arrivée, Madeleine, est très heureuse de revoir sa cousine Geneviève. Elle est un peu plus âgée que ma belle-mère. Après les présentations – la cousine me trouve « très bien » - l’émotion des retrouvailles et l’imparable visite à la défunte dans sa chambre, nous nous retrouvons autour d’un thé et des petits gâteaux. Geneviève semble très heureuse de retrouver sa cousine et elles se remémorent leur jeunesse, s’excusant auprès de moi de parler de ces choses là.
    
    Madeleine ...
    ... nous amène ensuite à nos chambres. Bonne surprise ! Elle nous installe dans le gîte qui est en fait un petit cottage à quelques mètres de sa maison, isolé au milieu des arbres avec deux chambres et une salle d’eau. Pour les repas, même si le gîte est équipé d'une cuisine, nous les prendrons chez elle.
    
    Durant notre séjour, nous occuperons les deux chambres alternativement afin de ne pas créer de soupçons. J’ai pensé tout de même que, vu nos têtes fatiguées le matin et les draps largement arrosés par Geneviève, que Madeleine s’est peut-être posé quelques questions après notre départ.
    
    La cousine n’a pas cru un seul instant que je sois le futur gendre de Geneviève. Elle a tout de suite pensé que j’étais son amant – ce qui n’était pas faux – ce n’est que plus tard qu’elle découvrira la vérité. Elle nous révélera alors nous avoir vus dès le premier soir en train de « forniquer » comme elle a dit, mais chez ces gens-là…. On ne cause pas ! Elle était de plus au courant des infidélités du mari de sa cousine et trouvait presque « normal » que la « pauvre » Geneviève se vengeât avec un homme plus jeune.
    
    Bref, c’est dans cet endroit bucolique que ma belle-mère m’a offert son dernier pucelage.
    
    Le premier soir déjà, nous avons fait l’amour de façon intense. Après le dîner chez la cousine, que nous avions quittée assez rapidement, Geneviève prétextant la fatigue du voyage et l’émotion du décès de sa tante, nous nous sommes enfermés dans notre nid d’amour.
    
    Deux minutes après ...
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