1. La vie dissolue d'une bigote 3 :Geneviève découvre la sodomie


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... sexe et autres mots orduriers. Sa chatte coule sans discontinuer au rythme de ses plaisirs. Enfin, à bout de souffle, je me vide dans son vagin dans une dernière pénétration profonde. Ce faisant, je roule ses tétons entre mes doigts, lui apportant une ultime jouissance.
    
    Je la retourne pour la prendre entre mes bras et partager un baiser où nos langues s’affrontent. Peu à peu le calme revient et ce sont des petits baisers que nous picorons tout en caressant le corps de l’autre.
    
    « Mon chéri ! Vous m’avez tuée !
    
    Il faut dire que dans cette tenue, tu es un « pousse-au-viol » belle maman ! Si les gens te voyaient comme Ça, ils changeraient d’avis sur toi.
    
    Vous savez bien que c’est impossible. Il n’y a que vous pour cela.
    
    Il faudra bien que tu te trouves un homme pour me remplacer un de ces jours. Tu sais bien que nous ne pourrons continuer.
    
    C’est vrai. Mais vous m’avez marquée à jamais. Jamais je n’oublierai ces moments. Vous êtes un sorcier. Vous savez toujours m’emmener où vous voulez pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs.
    
    Tu es gentille finalement. Allez ! Viens sur le lit, j’ai encore envie de te baiser et de t’enculer dans cette tenue.
    
    Oh oui ! prenez-moi par le cul ! Je suis votre chienne ! Venez mon amour ! »
    
    Oh là ! Me dis-je. Elle va loin ! Pour moi ce n’est pas de l’amour. Je la baise, j’adore Ça, mais je ne l’aime pas. Il faudra que je lui précise à nouveau les limites de notre relation. A ma remarque, plus tard, elle en ...
    ... conviendra.
    
    Sur le lit, nous reprenons notre séance qui dure une grande partie de la nuit. Il est vrai que c’est notre dernière dans ce nid douillet. Le réveil est difficile. Pourtant une dernière fois avant de partir, Geneviève veut encore faire l’amour une dernière fois dans notre “nid d’amour”. Elle n’a pas quitté sa tenue, ses seins sont bien relevés et sa taille affinée. Elle est bandante malgré les cernes sous ses yeux. Pelotonnée contre moi, Geneviève se laisse aller à son émotion.
    
    “Je sais que vous ne m’aimez pas et que vous ne voulez pas m’aimer, mais moi je vous aime mon chérie. Si vous le voulez, je serai un putain ! Votre putain ! Je suis à vous ! Jean, voulez-vous être mon mari ?
    
    Oui Geneviève, je veux être ton mari et toi Geneviève, veux-tu être ma femme ?
    
    Oh oui !Je veux être votre femme !
    
    Je nous déclare mari et femme ! Maintenant passons l’anneau !
    
    Comment cela ?
    
    Ton anneau, c’est ton sexe, et mon doigt, c’est mon sexe ! Alors, je passe mon doigt dans ton anneau !
    
    Oh oui ! Prenez-moi ! Engrossez-moi ! Faites-moi un enfant !
    
    Tu es folle !
    
    Oui ! Je suis folle de vous !
    
    Tu veux un enfant qui sera le frère de mes enfants et aussi ton petit fils !
    
    Oh oui !Je veux être grosse de vous !
    
    Tu vois d’ici le scandale ?
    
    Je me fiche du scandale ! Je suis heureuse !Je serai heureuse de vous donner un enfant ! L’enfant de l’amour !”
    
    Geneviève pleure dans mes bras, alors que tendrement, je lui fais l’amour.C’est la première fois que je ressens ...