1. Trahisons, ou le Retour de la Grande (21)


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: simson3, Source: Xstory

    ... caresses buccales le nombril de sa partenaire, puis son mont de Vénus, ce volcan d’où s’écoulait maintenant des vagues de lave tiède et capiteuse.
    
    — Oui, Sophie, baise-moi ! Fais-moi venir. Fais-moi jouir comme jamais je n’ai joui.
    
    Ayant de ses deux mains ouvert toute grande la moule bavante, Sophie ne résista pas à l’appel des vapeurs envoûtantes et embrassa à pleine bouche le con de celle qui lui avait ouvert son giron. Telle une souris fouineuse, Sophie se fit fouilleuse, sa langue sondant tous les replis humides et les muqueuses s’offrant ingénument à l’amoureuse.
    
    Evnika avait fébrilement refermé les mains sur la tête de la petite, l’emprisonnant de la sorte dans les derniers retranchements de son intimité. Bientôt un clito, transporté dans une dimension nouvelle et inconnue de plaisir par le frétillant muscle lingual, fut ultimement à l’origine d’une fulgurante décharge qui tétanisa entièrement la femme.
    
    — Sophiiie ! Oooh... So... phiie !
    
    Des gémissements que l’on aurait crus mêlés de légers sanglots se firent entendre, alors qu’Evnika goûtait pleinement au premier véritable orgasme de ses trente ans.
    
    La période de détente se révéla aussi sensuelle que la montée puis l’apogée de l’excitation qui l’avaient précédée. Les deux nouvelles amantes s’échangèrent un long mais tendre baiser, après quoi Evnika se mit doucement à lécher un visage dégoulinant de cyprine fraîchement aspergée.
    
    — C’était merveilleux, ma chérie ! avoua, tout sourire, la femme ...
    ... après avoir bruyamment dégluti une dernière gorgée de son propre nectar. Tu m’as fait l’amour comme une déesse. Je n’aurais jamais pensé que...
    
    — Que... ? demanda doucement l’autre.
    
    -... qu’un jour je goûterais de la sorte à ma propre mouille, ni qu’une femme que je ne dominerais pas me procurerait autant de plaisir. Quelle merveilleuse amante tu es !
    
    — Tu es née de nouveau, chérie. La vieille Evnika est morte.
    
    La Grande roula de bonheur sur le ventre. Redevenue sérieuse, elle écarta ses cuisses, présentant à l’autre un cul humide et fortement parfumé :
    
    — J’ai maintenant quelque chose à te demander. Tu vas sûrement me trouver bizarre.
    
    — Tout nous est maintenant permis, mon amour. Parle. Que désires-tu ?
    
    — Cet anus est vierge. Je te l’offre maintenant. Prends-le... entièrement.
    
    Sophie se pencha sur les formes rondes, chaudes et musclées qui s’offraient à sa vue ainsi qu’à son odorat. Toujours en ventrale, Evnika empoigna à deux mains ses fesses qu’elle écarta entièrement, faisant exploser un généreux bouquet sauvage d’huiles périnéales et de cyprine. De nouveau, une petite langue nerveuse parcourut les méandres de cette intimité féminine, léchant au passage une raie humide et glissante pour faire enfin connaissance avec un sphincter qui pulsait maintenant d’une expectative aussi libidineuse qu’interdite.
    
    — Glisse tes doigts, ma chérie. Détends-moi complètement. Hum... c’est bon. Oui, continue, ma belle, fais-les tourner dans mon orifice. Enfonce-les ...
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