1. La vengeance de Rashan


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... remémorant cet après-midi.
    
    C'est ici, dans le lit qu'elle partageait maintenant avec son mari, que s'était déroulé une sauvage partie de jambes en l'air, il avait pleinement joui deux fois de ses charmes avant qu'elle n'aille récupérer sa petite fille à la sortie de l'école maternelle. Une fois que ce salaud eut satisfait ses appétits de lucre dans sa bouche, sur la moquette du salon, il s'était servi un verre au bar et lui avait servi un verre de jus d'orange d'un flacon qu'il prit au réfrigérateur.
    
    En sirotant son jus d'orange pour effacer l'horrible goût de sperme dans sa bouche elle avait inconsciemment avalé une bonne dose d'aphrodi-siaque, connue sous le nom de cantharide.
    
    Vingt minutes plus tard, alors qu'il lui avait ordonné de se livrer à un aguichant strip-tease dans leur chambre conjugale, Trish ne pouvait s'empêcher de frotter ses cuisses l'une contre l'autre..
    
    C'est à cet instant qu'elle comprit ce qui se passait, elle n'avait pas bu un jus d'orange ordinaire, elle lui demanda nerveusement :
    
    - "Qu'y avait-il dans mon jus d'orange? ....."
    
    - "Juste une petite potion pour te rendre plus amoureuse ma chérie! .... Un peu de cantharide, j'espère que tu aimes! ....." lui répondit-il narquoisement.
    
    Une fois nue sur le lit conjugal, elle se tortillait en tout sens, l'étreignant étroitement des bras et des jambes tout en soupirant :
    
    - "S'il vous plait... Je vous en prie... baisez-moi... Je brûle d'envie de me faire baiser! ..... Je brûle! ...
    ... ...."
    
    En fait c'était du aux effets du puissant aphrodisiaque que Trish avait in-gurgité un peu plus tôt, elle aurait cru qu'un brasier lui consumait la chatte.
    
    Au lieu d'être rebutée par les caresses de ce salopard, Trish était si exci-tée qu'elle avait besoin qu'il bourre sa grosse bite dans la foufoune pour éteindre ce brasier ardent.
    
    En fait, jambes grandes écartées remontées sur ses épaules, elle tenait la main entre leurs deux corps pour guider son énorme mentule dans sa fentine embrasée.
    
    Elle coulissa alors frénétiquement sur son épais chibre pour apaiser le feu qui la consumait l'étreignant des mains et des bras alors qu'elle s'arc-boutait sur les talons pour approfondir ses coups de boutoir.
    
    Finalement, sa semence réussit à éteindre momentanément le feu qui lui consumait l'entrecuisse et Trish dut admettre qu'elle s'était conduite en pute dévoyée dans son propre lit conjugal.
    
    Mais une demi-heure plus tard, Trish se tortillait à nouveau sur son lit, le feu qui couvait entre ses cuisses avait repris de l'ampleur et nécessitait une nouvelle intervention d'envergure pour l'éteindre.
    
    Lorsque son tourmenteur l'eut assuré qu'il était bien trop fatigué pour intervenir, elle étreignit frénétiquement son corps, pris sa grosse bite en bouche, l'excita habilement pour faire raidir sa queue convenablement, suffisamment pour s'empaler dessus.
    
    Plus tard, après cette âpre chevauchée pour satisfaire ses appétits lubriques, Trish réalisa qu'il lui restait 25 minutes pour ...