Les vacances de Julie - 1
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Markpm, Source: Hds
... pour faire glisser le sous-vêtement jusqu'à ses chevilles. Par réflexe, je l'ai porté à mes narines. Cette odeur m'avait tellement manqué. J'ai eu envie de mettre ma tête entre ses cuisses et lécher cette chatte qu'elle avait débarrassée de tout poil, mais je me suis retenu. Il ne fallait pas que je sois trop gourmand. A la place, je me suis relevé, et la forçant à ouvrir la bouche d'une main, de l'autre j'ai glissé la culotte contre sa langue.
— Il va falloir que tu reprennes les bonnes habitudes. Pas de sous-vêtements jusqu'à nouvel ordre. Enlève aussi ton soutif et rentre dans la bagnole.
Un peu surprise et surtout incapable de parler, Julie a simplement hoché la tête et passé ses mains derrière elle pour défaire l'agrafe de son soutien-gorge. Elle comprenait ainsi que les choses sérieuses commençaient. J'ai claqué ses fesses avant de faire retomber sa robe. Ça aussi, ça m'avait manqué, et pour le coup je n'ai pas pu m'en empêcher. Ensuite seulement nous sommes rentrés dans la voiture et j'ai pris la direction de mon appartement.
Le trajet n'aura duré qu'un petit quart d'heure. Mais pour Julie, dont la bouche était remplie de dentelle pas tout à fait propre, un quart d'heure pouvait sembler une éternité. Aussi, une fois la voiture bien garée à sa place, dans le parking sous-terrain de mon immeuble, j'ai sorti la culotte, encore plus poisseuse, de sa bouche. Puis je suis sorti de la voiture, et j'ai sorti sa valise. En faisant le tour pour lui ouvrir la porte, je ...
... me suis senti soudain terriblement excité de la voir si docile, si soumise, si chienne sur le siège passager. Alors en sentant toue cette excitation monter en flèche, je lui ai ordonné de sortir de la voiture, puis de se retourner. D'un geste, brusque et ferme à la fois, je l'ai forcée à se pencher en avant. D'une main, j'ai relevé sa robe au-dessus de ses fesses tandis que de l'autre, je défaisais ma ceinture. Je bandais tellement, j'étais tellement excité, que je n'ai pas demandé mon reste. J'ai simplement glissé mon sexe entre ses cuisses, et d'un geste franc, l'ai pénétrée. Comme un forcené. Sans retenue. A chaque aller-retour au fond de son vagin, je claquais son cul si fort que ma main y laissait une marque rouge. Julie, la tête plaquée contre le siège, gémissait, et je l'ai vue à plusieurs reprises mordre sa main pour ne pas crier trop fort. Autant dire que j'étais tellement excité que je n'ai pas mis longtemps avant de jouir, lâchant de longs jets de foutre au fond de son sexe. Mon Dieu que ça faisait du bien. Sept mois que j'attendais ce moment. Toujours enfoncé profondément entre ses cuisses, je jouais avec son anus du bout du pouce, mais lui ai quand même dit :
— Si jamais tu regrettes, tu as encore le temps de changer d'avis. Mais si tu veux être ma chienne, c'est jusqu'au bout.
Bien sûr, Julie ne m'a pas répondu. Je connaissais déjà son caractère. Elle a simplement retiré ma queue de son sexe, et s'est retournée et mise à genoux pour me faire face. Puis elle ...