Mon dentiste
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
médical,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
double,
fdanus,
f+medical,
fsoumisah,
Auteur: Audrey, Source: Revebebe
... une touche d’ironie.
— Vous êtes particulièrement ravissante aujourd’hui, s’exclame-t-il en pénétrant dans la salle de soin. Prenez place.
Il me tourne le dos, pour récupérer ma fiche. Je prends place sur le fauteuil. Je me rends compte que ma mini-jupe remonte beaucoup trop… et que j’aperçois la naissance de mon doux abricot ! Je rougis, je suis tétanisée. Il prend sa place habituelle, sans se démonter, il me sourit, en mécanisant son fauteuil, ce qui a pour effet de me retrouver pratiquement allongée devant lui. Ma tête calée, il place son fauteuil afin de s’asseoir lui-même, allume sa lumière aveuglante et positionne sa loupe :
— Ouvrez la bouche, s’il vous plaît.
Il ne pense pas une seconde à ce que je pense, sinon il n’aurait pas ce ton aussi indifférent.
— Vous avez une tenue bien légère, ose-t-il !
— En fait, je sors d’une séance de prises de vues.
Je crois avoir bien rattrapé le coup, car il sait que je suis mannequin occasionnelle, quand il m’anéantit avec son :
— Ah ! Dommage, je croyais que c’était mon anniversaire.
Je le laisse œuvrer quelques secondes qui me paraissent être une éternité, quand je prends mon courage à deux mains :
— Ça ne l’est pas ? Je me serais trompée ? dis-je en écartant les jambes, espérant attirer son regard sur la douceur de mon abricot épilé.
Il marque un temps, lorsque je sens un doigt pénétrer mon abricot. Je suis trempée, je mouille comme une folle, il me pénètre de plus en plus. Je me cambre. Son autre ...
... main ouvre mon chemisier, et il me palpe avec délicatesse les seins. La lampe et sa loupe m’empêchent de bien voir son visage. Ma main glisse naturellement vers son entrejambe et je ne suis pas déçue de ce que je sens sous son pantalon.
Sa main relâche la pointe de mon sein, ce qui commençait à m’exciter… mais avais-je besoin de cela pour être excitée, je ne crois pas. Il fait descendre son fauteuil au maximum, éteint sa lampe et repousse sa loupe. Il approche son visage de ma bouche, qu’il n’a pas eu le temps de travailler, pour m’embrasser longuement, tout en me doigtant profondément.
Quand il se lève pour enlever sa blouse blanche et ouvrir sa braguette, je suis au paroxysme du bonheur. Enfin, je vais pouvoir la voir, la sentir, la sucer. Ma première réaction a été un choc ! Elle est légèrement plus grande que celle de mon homme, mais deux fois plus large, peut-être trois !
Encore pas tout à fait rigide, il place sa bite devant ma bouche. Je ne savais pas quoi faire, je me demandais si je pourrais le sucer. Je saisis ce monstre avec mes deux mains, elles n’en faisaient pas le tour. Tant bien que mal, je le gobe, le lèche, l’avale. Il pince la pointe de mes deux seins.
Les longs va-et-vient entre mes lèvres finissent par lui donner sa rigidité, même si elle n’a pas plus grandi. Mon abricot, comme mon homme aime l’appeler, me titille. D’une main, j’entreprends de le finir dans ma bouche, et me caresse activement de l’autre quand il coupe le silence, fait de bruits ...