1. Pour un petit coup avec toi (5)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Loco2016, Source: Xstory

    ... :
    
    — C’est bon Maryjane, mais il va en falloir plus que ça.
    
    — Je veux que tu jouisses ! fait-elle.
    
    — Je sais, mais continue alors.
    
    — Je veux te sentir me remplir de sperme !
    
    — Rah, je comprends, tu cherches à me rendre fou avec des mots crus, c’est ça ? Sale traînée !
    
    — Oui ! Je suis ta traînée, ta pute ! Vide-toi dans ton sac à foutre !
    
    — Putain, mais c’est que ça va marcher en plus ! Salope !
    
    — Oui, ne te retiens pas ! Vas-y ! Éjacule !
    
    — Ah ! Putain ! Ça vient ! Espèce de saloooooooooooope !
    
    Elle a gagné, je gicle en elle pour la seconde fois de la soirée. Je jute abondamment. Elle a un orgasme au même moment, je suis ravi de voir que je ne suis pas le seul à prendre mon pied à ce petit jeu. Elle s’écroule sur moi, épuisée. Nous restons ainsi quelques instants pour récupérer. J’aime sentir son corps chaud affalé sur le mien. Je la caresse tendrement comme si elle m’appartenait.
    
    Plus tard, nous passons au troisième round et je lui donne ce qu’elle voulait. Je la fais s’allonger sur le ventre et la démonte par-derrière. Je la tire par les cheveux, je l’étrangle, lui donne des fessées, et la fait jouir ainsi en continu. Je retente de lui mettre un doigt dans le cul, elle crie de plaisir jusqu’à ce qu’elle n’en ait plus la force. Je devrais peut-être être gêné qu’on fasse autant de bruit, mais au lieu de ça, je suis fier de montrer à tous mes voisins que je suis capable de faire hurler une fille.
    
    Je tiens aussi longtemps que je peux en la ...
    ... prenant aussi brutalement que possible. Quand je n’en peux plus, je la retourne sur le dos et me branle devant son visage. Je veux la souiller avec mon foutre. Je beugle comme un animal en me sentant partir. Je lui gicle tout ce qui me reste à la gueule. Hmm, Maryjane dégoulinant de ma semence, je fais une nouvelle photo souvenir.
    
    Cette fois-ci, c’est fini, c’est mort, nous n’en pouvons plus. Elle n’a elle-même plus la force de se relever pour aller se nettoyer. Nous nous endormons là, allongés l’un contre l’autre, sans prononcer le moindre mot. Je me sens bien, heureux. J’aimerais passer toute ma vie à me reposer comme ça avec elle. Je sais que c’est impossible mais je reste content d’avoir cocufié l’autre connard.
    
    Vers quatre heures du mat, j’ai une nouvelle petite envie. Je n’ai aucune raison de me gêner... Je la réveille et la force à me faire une pipe. À moitié endormie, elle se met à me sucer. J’ai toujours rêvé de pouvoir abuser d’elle en plein milieu de la nuit :
    
    — Allez, salope. Tu veux dormir ? Va falloir me faire gicler dans ta bouche avant. Et tu as intérêt à avaler ce que je vais te donner !
    
    Je fantasme sur ça depuis que Monsieur Matignon m’a dit qu’elle aimait le sperme. Elle me pompe quand même vachement bien vu la situation la petite cochonne. Elle me branle d’une main en même temps. Elle ne cherche pas à m’exciter, juste à me finir, c’est merveilleux à regarder. Je n’essaie pas de me retenir, pas besoin, j’ai juste envie de tirer un petit coup. À la ...
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