1. COLLECTION COCU. Le balcon (1/1)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... divinement autre nouveauté pour moi, car les dimanches matin de sexe Jean me plantent après que je l’ai masturbé sans jamais m’embrasser.
    
    Je me sens soulevé et des vibrations montent dans mon corps, je délire, c’est impossible, je sens la verge de celui dont j’ignore jusqu’à son nom entré doucement en moi avant de m’apercevoir qu’il m’a assise sur la machine à laver.
    
    Il me laboure doucement comme s’il voulait savourer sa première fois nos bouches toujours soudées, je sens qu’une boule monte en moi quand sans me prévenir sa verge se retire vite remplacée par sa bouche qui se pose sur mon sexe et plus particulièrement sur mon excroissance qui jusqu’à ce jour semble avoir été sage quand on voit l’étrange impression que je ressens.
    
    • Que fais-tu avec la bouche, tu m’as dit être puceau, mais tu m’en as déjà fait deux fois plus que mon mari en quinze ans de vie sexuelle, tu t’es fichu de moi ?
    
    • Je regarde souvent des films pornos, je sais ce que les femmes aiment même si tu es la première salope à qui je peux tout faire.
    
    Il m’a dit cela en relevant la tête, qu’il remet sur mon intimité et sur cette excroissance faisant monter le plaisir monte en moi.
    
    • Tu es une pute ma belle, je vais te la remettre, c’est fait, tu m’as pris mon pucelage avec ta cramouille.
    
    • Ma cramouille ?
    
    • Oui, ta chatte, ta vulve, ton vagin, ton garage à bite.
    
    • C’est ignoble tous ces mots, mais c’est bon, remet moi ton bâton dans mon garage à bite.
    
    Il se redresse et me plante ...
    ... de nouveau, j’ai envie de lui dire mes pensées les plus profondes, les plus salaces, mais j’ai déjà évoqué ma vie sexuelle avant que mon seau d’eau sale ne tombe sur la tête de mon amant blond.
    
    Il me prend sous les fesses me coupant des vibrations qui me faisaient tend de bien, nul doute que dans les prochains jours quand je serai seule, je démarrerais la machine en me plantant mes doigts dans mon garage à bite pour être à nouveau une pute.
    
    • Conduis-moi dans ta chambre, je veux te faire jouir sur ton lit, j’ai l’impression que la pucelle, c’est toi, je vais te pilonner en te prenant en levrette.
    
    • Arrête, quel est ton nom, tu me baises sans que je sache qui tu es.
    
    • Johnny, j’habite aux États-Unis et je suis venue voir ma grand-mère, je repars ce soir.
    
    Se faire promener dans son couloir pendu au cou d’un garçon sa verge au fond de ma chatte comme il a appelé mon intimité est incroyable.
    
    Il a une force que l’on ne peut prévoir quand on le regarde, je suis apeuré de ce qu’il vient de me dire qu’il repartait ce soir pour New York, mais content, car j’aurais trompé Jean une seule fois alors que s’il était resté à Paris, je l’aurais souvent invité à venir me faire autant de bien qu’en ce moment.
    
    Quand je tombe dos sur mon lit à la place ou mon mari dort, mon corps s’envole et il décharge toute sa semence dans le fond de mon ventre me faisant hurler.
    
    C’est la première fois que je hurle ainsi, juste au moment où la Contoise sonne 9 heures.
    
    Mince ma femme ...