Gulliver et Lilli Pute
Datte: 13/10/2018,
Catégories:
hh,
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ecriv_t,
Auteur: Mariepolissonne, Source: Revebebe
... mais je crie encore, "défonce moi, oui, oui, oui" et ma colonne vertébrale durcit, durcit, et d’un coup long, long je me tends, me tends, et c’est y est, je pars, je pars, je suis pris d’un énorme orgasme qui me trempe le cul et je le sens qui s’enfonce dans mes intestins, loin, loin, et je tombe à plat, envahie par cette bite, qui vient de me voler toute mon énergie, et je suis là, à plat, écrasée, enculée jusqu’aux yeux, et je pleure, je pleure de quoi ? De joie, de douleur, de plaisir, de fin de tension nerveuse, et il me retourne encore la tête et m’embrasse en forçant mes lèvres.
Je ne suis plus rien, mon regard s’ouvre, et je vois le plafond du 4X4, à droite un peu de forêt, il fait nuit, et j’ai toujours cette gigantesque bite enfoncée, presque à dépasser de l’autre côté de mon ventre. Eh oui, je suis sur le dos, il m’avait retournée sans doute, mais je n’ai rien vu, et il m’encule encore, j’ai les jambes autour de ses épaules, le cul bien haut, et il ne débande pas ??
Je n’en peux plus, il y a deux heures qu’il m’a en sa possession, moi si fine, j’ai un pieu d’âne enfoncé, et il n’a pas l’air de vouloir arrêter !!
Je le laisse baiser, un peu indifférente à tout ce qui peut arriver ensuite, mais il faut bien qu’on s’arrête ??
Je le lui dis, et il rit, en se moquant de moi, « alors ma chérie, tu es vraiment une fille, ta chatte a été capable de prendre ma bite jusqu’au fond, mais maintenant tu me finis avec ta bouche, hein, ? ».
Mon intérêt était-il ...
... d’essayer, je le fais mettre accroupi au-dessus de moi, et je prends la grosse bête en bouche –inutile de vous dire, que malgré le lavement que je fais toujours avant de partir à l’aventure, il n’y a pas là un objet nickel,- mais mon chéri veut, alors je fais.
Et je force pour avaler zezette, et j’y arrive, mais je suce, et suce encore, et çà ne vient pas vite, et le machin est toujours énorme, et me déforme la bouche qui me fait mal : alors j’enfile un doigt dans le fondement de Monsieur et de l’autre main, j’entoure et presse la base de la bite : et alors :: la pluie, la grêle, l’inondation dans ma bouche, une quantité de sperme à la limite de l’incroyable, qui m’oblige à reculer son sexe pour pouvoir déglutir et avaler, mais oh que c’est bon !! j’ai failli m’étouffer, mais j’avale maintenant doucement le merveilleux liquide épais, chaud, un peu acide mais sucré, c’est-à-dire acidulé ,et Gulliver a envie de se reposer, mais ne sort pas son sexe de ma bouche et tourne sur lui-même pour poser ses genoux, et moi j’aspire ce qui reste.
Cà y est, « çà » sort, c’est mou mais toujours énorme, et je le nettoie à fond, la dernière goutte est exprimée, et Gulliver me jette à terre, nue au froid, pour replier les sièges, se rhabille, en exigeant que je reste à poil, redémarre, et hop, retour en ville, et mon chéri me dépose ou il m’a ramassée, devant une entrée d’immeuble ou je me rhabille tant bien que mal à toute vitesse. Et il me dit par la fenêtre : la prochaine fois on sera ...